dimanche 3 novembre 2024

De l'abondance

 

Des niveaux énergétiques
Des niveaux de vibrations
Des mondes gris et des mondes de couleurs
Des couleurs comme tu en as jamais vues
Jamais !
Lumière vivante, vraiment
Nul besoin d'identifier des formes et des histoires
Cela ne veut pas dire qu'il n'y en a pas.
 
 
 

 

Ariaga : La vibration est Une, le reste n'est que manifestations.

Miche :Quand la vibration est, c'est déjà le règne des manifestations. 

 

Les couleurs dans nos têtes

 
 

Magie de la vie

 

Suis passée, chez le boulanger, les viennoiseries et le pain sous le bras, les laisses des chiens dans l’autre, je cueille les brèdes pour le repas du midi.
Ce trajet, nous fait passer par le chemin des mésanges. Curieux nom, en souvenir du pays natal des petits blancs qui peuplèrent les hauts, il n’y a pas de mésange sur cette île. Souvent, nous y croisons une petite chienne, elle nous attend, fait la fête aux noirauds, et me tend son échine. Vive comme l’éclair, si douce…
Sa maîtresse est là, qui taille la haie de son terrain non clôturé. Je la salue, son regard se pose sur les chiens : « Le petit chien est mort ».
Je crois qu’elle me parle de Moustique, un cancer l’a emporté, il y a quelques mois maintenant.
« Ah, le petit chien aussi est mort. Je l’ai retrouvée, pas loin, au carrefour, il y avait du sang partout, et pas de trou.  Elle aura mangé du poison pour les rats, et fait une hémorragie »

Nous parlons, un moment, de ce petit chien, si gentil… dans les fourrés, un frôlement, c’est un chat qui se faufile entre les broussailles, je lui fais remarquer cette présence.
« Oui, celui-là, est venu deux jours avant qu’elle parte. D’habitude, elle chassait les chats dans la cour, celui-là elle l’a laissé entrer, comme si elle savait qu’elle allait partir. »

 


 

samedi 2 novembre 2024

Ici

 

Il pleut,
La montagne s’est habillée de brume
De gouttes perlées.

C’est très beau, si doux, si proche.




De l'objet


L'objet mental
Génère toujours de la frustration
Même si tout commence avec la satisfaction
Avec le sentiment de ma très grande importance.
 
 

 


 

Au nombre des limitations

 

Pouvons-nous le dire ?
Le dire parce que nous le voyons
Hors le moment de l'événement
Qui provoque un choc, physique, psychologique
Nombreux sont ceux qui se nourrissent
De leur souffrance, du statut de victime
Du ressassement, cela donne tellement d'importance.
 
Et comme on aime la redondance
Peu à peu, un carcan, un enfermement
Plus possible le changement
Enfin... bien difficile, que d'attachement ! 
 
 

 

Par son ignorance, son égoïsme et sa haine, l'homme est responsable de sa propre souffrance.

Mazouz Hacène


 

vendredi 1 novembre 2024

En esprit, libre


Ne pas réduire à un empêchement
Ce qui est si beau, si vaste
Infini, jamais fini.

Ce qui est inconnaissable
Que je fais le vœux de connaître.
 
 
 

 

De la main

 

La main, s'agite
Elle suit un mouvement interne
En volutes colorées
Teintes vives.