Affichage des articles dont le libellé est de la souffrance. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est de la souffrance. Afficher tous les articles

mercredi 6 novembre 2024

Du foie gras pour la noël ...


Un tel niveau de futilité
Auquel ils étaient tellement attachés !
Du coup leur si grande arrogance
Leur pendait au nez
Du coup leurs nez ne cessaient de s'allonger
Si bien qu'ils touchèrent le sol.

Non, il ne s'agit pas de l'éléphant 
Cet animal si beau, si sage, si sauvage !!!
 
 

 
 
 
 

 
 

samedi 2 novembre 2024

Au nombre des limitations

 

Pouvons-nous le dire ?
Le dire parce que nous le voyons
Hors le moment de l'événement
Qui provoque un choc, physique, psychologique
Nombreux sont ceux qui se nourrissent
De leur souffrance, du statut de victime
Du ressassement, cela donne tellement d'importance.
 
Et comme on aime la redondance
Peu à peu, un carcan, un enfermement
Plus possible le changement
Enfin... bien difficile, que d'attachement ! 
 
 

 

Par son ignorance, son égoïsme et sa haine, l'homme est responsable de sa propre souffrance.

Mazouz Hacène


 

mercredi 21 août 2024

La souffrance qui accomplit la vie


Retrouver le sens de la souffrance
Le sens de l'accouchement
Quand les fibres se contractent
Pour ouvrir le passage.
 
Se tenir éloigné de tous ces spécialistes
Qui prétendant aider au travail
Sautent sur le ventre de la primipare
Forceps et autres techniques.
 
Sauver des vies ?
Anesthésie.
 
Naissance et mort
Enlacées de toute éternité.
Déjà publié ici 
 
 
 Shanya Smith
 

mercredi 28 février 2024

Se nourrir de la souffrance


Oui, c'est vrai !
Se nourrir de la souffrance
C'est fou ça !
 
Je pensais que c'est par ignorance, inconscience
Que cette aberrance est
Tant sur le plan physique, se nourrir de la chair de la maltraitance animale et végétale
Que sur le plan psychologique
Et là... l'évidence !

Ceux qui se nourrissent de la souffrance ne veulent rien d'autre !

 
llustration Phénix - Oracle Nadia Poullain

jeudi 22 février 2024

Qui se chargera (prendre tout le poids) ?


Dans cette histoire d'élevage
Des animaux
De la naissance à la mort
Empêchés de savoir qui, ils sont
C'est ça le plus criminel !
Pas de mère, pas de soleil, pas de nature
Enfermés, maltraités, engraissés, abattus.

Qui se chargera de la mémoire de toute cette souffrance ?

Vous, vous qui mangez cette chair
Vous vous chargez pour des kalpas et des kalpas
De la mémoire de cette souffrance
Qui de génération en génération vous tire vers le bas
Alors ne plus savoir que le Verbe Élever signifie tirer vers le haut
Le beau, la lumière, le divin si vous voulez ! 


Merci Anonyme

Anonyme : C'est de la survie !

Miche : Manger la chair de nos frères maltraités, de la survie ?
Diantre ! Cela donne tout le sens au mot "survie", laisser derrière nous nos déchets, nos désastres... Ah, la bascule est là !





lundi 16 octobre 2023

De la souffrance encore

 

Elle tapine dans l'ombre
Le passant ne la voit pas
Mais il l'entend, elle l’appelle
« Viens mon mignon, viens ! »

S'il s'arrête, c'est foutu pour lui
Elle l'entraîne déjà.





samedi 2 septembre 2023

La souffrance qui accomplit la vie


Retrouver le sens de la souffrance
Le sens de l'accouchement
Quand les fibres se contractent
Pour ouvrir le passage.
 
Se tenir éloigné de tous ces spécialistes
Qui prétendant aider au travail
Sautent sur le ventre de la primipare
Forceps et autres techniques.
 
Sauver des vies ?
Anesthésie.
 
Naissance et mort
Enlacées de toute éternité.



Briton Rivière


lundi 15 mai 2023

Du vivant

 

Il y a la souffrance
Et c'est prise de conscience
Plus rien ne sera pareil
Mais la souffrance n'est pas une finalité
Elle invite au dépassement
Comprendre qui est prendre en soi

Et dépasser...



Ariaga : En effet, dépasser est la seule solution pour supporter, mais c'est un travail de tous les instants avant que cela devienne "naturel".

Miche :  Oui, l'attention sans tension...



The Goonies


lundi 16 janvier 2023

De ce vide ...

 

 

Comme la nature a horreur du vide
Elle le remplit de cette plainte infinie
Générée par l’espèce humaine.

Et la souffrance que son ignorance
Fait grandir parmi les autres espèces
Animales, végétales, minérales…





samedi 17 septembre 2022

dimanche 1 novembre 2020

La souffrance inhérente au vivant

 

Les marchands de bonheur font fortune
La souffrance déclarée ennemie numéro 1
La sienne bien sûrs, parce que celle des autres !
De l'animal, du végétal
De cet homme, là-bas...

Qui reconnaît la souffrance inhérente au vivant ?
Qui accepte de la vivre sans l'enjoliver
Sans chercher à la dépasser
Sans non plus y succomber ?

Sans la réduire à une explication
A une cause que l'on pourrait traiter
A un effet que l'on pourrait soulager
Pour ne plus avoir à souffrir...
Sans en attendre récompense.




mardi 15 septembre 2020

Vague à L’ âme

 

Quand elles arrivent ces vagues

De si profonde tristesse

Vague à l'âme …


Ne pas les refuser

Ne pas les fuir

Il y a tant de souffrances dans le monde

Que nous faisons.


Les accepter, les reconnaître siennes

Sans y succomber

C'est à coup sûr en soulager quelques peines

De l'animal maltraité par l'élevage intensif

De l'enfant affamé, ou encore celui-là corrigé, battu

La femme, le vieillard, la nature en toutes ces pollutions.


Oui, la prendre cette vague de la peine

Elle ne fait que passer.



Frédéric Lamy

mardi 11 août 2020

Des comptes et des comptes, ça décompte !

Quand aimer se fait en comptabilité

Qui aimes-tu le plus ?

Et combien et comment ?


C'est pitié !

Quelle souffrance !!


jeudi 27 février 2020

De la souffrance inhérente au vivant.

Quand la tête ne peut plus ce que gémit le corps
Quand la souffrance étreint le vivant en soi
Tous, nous connaissons
Seule l’indifférence mortifère
La camisole chimique
Met un fictif écran

Un passage
Une naissance
La lumière est au bout du tunnel
Et pourtant dans ces moments-là
On ne le sait plus

Ce que nous touchons alors
N’est pas notre désespérance
Quelque chose qui concerne l’humanité
Le sentir dans le repli égotique
Et l’auto-apitoiement cède
L’insupportable oppression
Se mue en compassion
La compassion en amour
Et c’est la vie qui s’offre
 
 
 

Debra Bernier.

mardi 3 décembre 2019

Contre toutes les barbaries, LIBERTE !

Souffrance, marchander sa souffrance, alors que là du coup, on peut dire le bien commun, ou plutôt le lot commun.
Et puis c'est un trop plein de souffrance, alors la dire, la projeter, l'identifier en l'autre. Rejeter cet autre, c'est facile, c'est codifié par tant de générations, d'institutions, hôpitaux et prisons se chargeront de ceux-là, boucs émissaires.
Ça devrait aller mieux, c'est bien ce qui est supputé, quelques criminels, quelques héros, quelques âmes damnées pour sauver la masse immonde. Mais qu'on ne s'y méprenne la masse reste cette chose informelle, conditionnelle et conditionnée.
Il y a encore la possibilité d'être consentant, se donner à manger en pâture, « Mangez-moi », disait-il.

Et puis... faisant fi de tous ces dictas, faisant fi de ces destins tout tracés, faisant fi de ce qui est admis, la liberté. Liberté, ils l'ont inscrite sur les frontons des mairies, ils en ont fait un idéal inatteignable l'inféodant aux conditions d'une réalité, ils l'ont plagiée en ces habitudes de consommation, de tractation, de possession, ils l'ont affublée des habits du fou, fou du roi. Maintenant ils disent que cela n'est pas possible, et au fond la peur, la peur de s'affranchir.

Pourtant c'est bien "Liberté" qui a été offerte à l'homme.
« Vous n'auriez pas tant souffert, si vous aviez compris la souffrance » disait encore, celui qui s'est donné au monde. Ce qu'il a fait, il est le seul, l'unique à l'avoir fait. Les imitations n'ont aucune valeur, il a ouvert la porte qui ne s'est jamais refermée. 




Aurora, Kirkjufell, Iceland

vendredi 8 novembre 2019

Les yeux dans les yeux


Voir cela !
La seule solution ne plus consommer d’œufs

Enfin c'est ce que je fais
Certains vous diront, oui mais...
Ils disent toujours : oui, mais...

Non !
Vous semblez ignorer jusqu'à quel point nos pratiques sont contre-nature
Qui de l'oeuf qui dit la poule ?
Nous en avons fait une question philosophique
Oubliant que la poule ne pond pas pour nous
Nous avons fait de ces animaux des usines à produire
De la viande, des œufs, des foies gras, du lait
Et pour plus de rentabilité
Insémination artificielle, viols, mutilations
Supprimés les poussins mâles, les petits veaux
Etc.
La dégringolade est vertigineuse !




mercredi 20 mars 2019

A corps perdu

Ils ont tellement perdu le contact avec eux-mêmes
Que sans intermédiaire  ils ne peuvent plus
Il leur faut une labellisation de leur propre pensée
De leur ressenti, de leur perception.

Chaque institution proposant la sienne
Ils vont au marché avec leur petit panier
Il y a les fidèles qui achètent toujours au même étal
Il y a les pique-assiettes.

Tout ce qui échappe au discours officiel, est rejeté
Ils ont bien appris la leçon
Idiots ils sont devenus
Et resteront.
 
Ils ont tellement perdu le contact avec la nature
Je parle bien de ce grand corps qui nous fait
En multitudes de formes imbriquées
Qu’ils sont devenus... des copiés/collés.

Tout dans leur cerveau formaté
Plus rien sur la peau, ni le froid, ni le chaud, ni le mouillé
Toute sensation est cause de désagrément
Alors les perceptions plus profondes, ma brave dame !

C’est tellement ancré cette déconnexion
Que leur propre corps leur est étranger
Il ne peut plus que cristalliser toutes expressions aberrantes
Qu’ils appellent maladies.

Après quoi, il ne reste plus qu’à s’identifier au statut de malade. 




jeudi 28 février 2019

De la division à l'indifférence

On devient insensible à la souffrance générée par le système
Par le moyen justification/condamnation.

Le système propose tout un panel de discours
Et dès le plus jeune âge l’homme est conditionné à les intégrer
Il y a la souffrance de l’autre côté, celle du pays lointain
La souffrance pour laquelle je ne peux rien
Celle qui ne m’appartient pas
La souffrance méritée
La souffrance recherchée
Il y a même, ceux qui prétendent ne pas souffrir…

Ce que nous relativisons ainsi
C’est notre propre souffrance !

 

Déjà publié ici  


samedi 3 novembre 2018

Mais avant ...

Et la souffrance, dis ?

La souffrance physique est une vague, tu peux la surfer
Tu peux la laisser t'emporter
La souffrance psychologique n'est pas une fatalité
C'est un rétrécissement égotique, « moi, moi, moi »
Un refus de comprendre la vie.

Comprendre qui est prendre en soi, et la naissance, et la mort
Ouverture/fermeture, respiration du vivant en soi
C'est si beau, si puissant...

Lumière est conscience
Le voyage continue... mais avant...
 
Ce travail à faire ici ! 



 Hu Yongkai

mercredi 22 août 2018

L'oreille sourde

Il y a des gens qui se réjouissent de la souffrance d'autrui.


Je te dis qu'il y a des gens qui se réjouissent de la souffrance d'autrui !


Tu ne m'entends pas ??? Tu ne veux pas le croire ?? Tu ne veux pas l'admettre ! Quoi qu'il en soit il y a des gens qui se réjouissent de la souffrance d'autrui. 
Cela inclut la souffrance animale, bien sûr !