De la main

 

La main, s'agite
Elle suit un mouvement interne
En volutes colorées
Teintes vives.

 

 

Dance me...

 

Ma main à ma bouche
Papillon léger
C'est un baiser.

Le souffle accordé
A mon amour
Dessine des ondes.

Quand celui-ci dit :
« Danse-moi pour la fin de l'amour »
Il dit justement que l'amour ne finit jamais
Et dans le corps du vieillard
Il danse, les pas de l'ours.

Source 

Oiseau du paradis

 

Ils me font bien rire ceux qui décrient l'ego

A longueur de journée, à tout propos

Ils ne voient même pas que faisant cela

Ils se frottent le nombril

Comme celui qui se frappe la poitrine

Ou encore celui qui se sacrifie.

Il n'y a que la fluidité

Et c'est ouverture

Qui évite le processus de cristallisation égotique

C'est une danse !

Et ils décrient la danse, objet de séduction, satan !

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Danser

 
Entrer en communication avec la musique
La vibration, ne devrai-je pas dire les vibrations ?
Se propagent dans tout le corps
Il se met en mouvement
Union.

Éric : Le corps, n'est-il pas aussi onde, vibration ?

- Onde et particule, mon ami.

Avant, après, ce n'est que le temps de l'attente.

 

Le couple, cela ne devrait être que pour la danse

Le temps d'une danse.

Et finalement c'est bien ce qui se passe

Le temps d'une danse.

Avant, après, ce n'est que le temps de l'attente.

Au pays des papillons

Ce chant

Ton chant

Vivant en moi.

Il fallait oser

J'ai osé

Et ça fait toute la différence.

Amour qui libère

Ailes de la chrysalide

Qui s'ouvrent au soleil.

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Valérie

De la danse cosmique

Onde et particule

Au cœur même de la matière

Matière énergie

Vibration

Celle perçue

Par quoi ?

Par qui ?

Perception improbable

De ce qui n'est pas

Des sensations courantes

Ici et là-bas

Dehors et dedans

Haut et bas

Circulation.

Qui fait quoi ?

Pour dire quoi ?

La raison dévisse

Elle craint plus que tout

Le vide

Elle qui a dit le vide.

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Vacuité

Ta main... juste... ta main

On dirait une danseuse mon amour

Tes mains... et celle-là juste poser

Effleurer, vraiment !

On dirait une danseuse...  

 Source

A la source...

Une valse court, court

Mazurka est son nom

Elle tourne, tourne.

Tu disais que tu apprendrais à danser

Et puis tout...

C'est un bain de jouvence

Plaisir si intime, pétille

Rien ne manque.

 @alexandrya19

Danse cosmique

L'homme ne cesse de découvrir qu'il n'y a pas de centre.

La terre, le soleil, notre galaxie, il n'y a pas de centre.

Le moi, le toi, le nous, il n'y a pas de centre.

Et pourtant, du haut de sa raison l'homme ne parvient pas à mettre le doigt sur la cause de cette méprise en lui, il en repousse sans cesse les limites...

Rien ne change et pourtant tout se transforme à chaque instant dans la respiration universelle.

La danseuse aux bras innombrables

Enlace l'éternel amant. 

 Fenghua Zhong

De ce mariage...

Ce pas de trop, ce pas d'après, ce pas du tout

Goutte à goutte, rideau de pluie

Deux forces, deux bras

Ne cessent de se rencontrer.

Dans cette intensité

Cela naît et cela meurt

Jour et nuit jouissant l'un de l'autre

Et à la pointe, s'en défendant

Se refusant

Pour mieux encore se marier.

Alors la brèche, l'ouverture

D'où jaillit le toujours nouveau.

 

 

 Petipa "La Bayadere" music by Ludwig Minkus

Good party

Le musicien et son instrument

C'est une danse

La musique s'offre à la danse

Deux musiciens, trois...

Multiplication à l'infini.

Le chant du monde qui danse

De la conscience

Lorsque je les entends

En parler

C'est moral !

De la conscience

Comme c'est vibrant

Palpitant, lumineux

Vivant !

Intelligence immédiate

De contact, comme le pied

Frappe le sol

C'est une danse...