C'est
si doux, là où nous nous parlions
Je
dis ça sans regret, nous ne nous parlons plus
Mais
la douceur est là vivante en moi.
dimanche 19 novembre 2017
samedi 18 novembre 2017
Le miel de l'illimité
Les
cloches des Lianes sonnaient ce matin
Elles sonnent peut-être tous les matins
Où encore tous les samedis matins
Mais ce matin, je les ai entendues du fond de mon lit.
Le corps de souffrance est comme un cercueil
Dans lequel on serait enfermé, mais Voir...
Alors l'esprit est libre, et alors il agit
Ce corps pour en faire un corps de lumière.
"J'ai bu le miel de l'Illimité" (Rabindranath Tagore)
Elles sonnent peut-être tous les matins
Où encore tous les samedis matins
Mais ce matin, je les ai entendues du fond de mon lit.
Le corps de souffrance est comme un cercueil
Dans lequel on serait enfermé, mais Voir...
Alors l'esprit est libre, et alors il agit
Ce corps pour en faire un corps de lumière.
"J'ai bu le miel de l'Illimité" (Rabindranath Tagore)
Question sur "VOIR"
–
L'esclave peut se
révolter !
– Oui,
il le peut, il devient alors un "esclave marron", un "mouton noir",
pourtant certains préféreront la condition de l'esclave consentant.
Il y a des avantages, parfois même une vie confortable, avec
l'affection du maître.
Enfin
peu importe tout cela est de l'esclavage.
Mais si en l'homme la flamme n'est pas morte, je dis en l'homme, c'est
aussi bien en la femme, en l'enfant, donc si la flamme n'est pas
morte, l'esprit de liberté le taraude en toutes les circonstances.
Alors s'il
Voit (sans jugement, ni justification), il quittera tous les chemins connus, ceux de la soumission,
ceux de la révolte, il ira le chemin caché.
Celui que lui seul peut
emprunter.
VOIR
Si
tu n'es pas en mesure de Voir ces conditions
Qui ne dépendent pas de toi
Et les voyant ne plus dépendre d'elle
Si tu n'es pas en mesure de les Voir
Alors te voilà prisonnier.
Le prisonnier n'est pas encore un esclave
Le prisonnier attend sa libération
Ce temps il le consacre soit à enjoliver
Les 4 murs de sa prison
Ou à se plaindre, c'est selon.
L'esclave lui descend dans l’arène
Où il est sonné d'obéir, sous la menace
De coups de fouets, il appartient à un propriétaire
La propriété est sans limite, en vérité
La dépendance est totale, vie ou mort.
Qui ne dépendent pas de toi
Et les voyant ne plus dépendre d'elle
Si tu n'es pas en mesure de les Voir
Alors te voilà prisonnier.
Le prisonnier n'est pas encore un esclave
Le prisonnier attend sa libération
Ce temps il le consacre soit à enjoliver
Les 4 murs de sa prison
Ou à se plaindre, c'est selon.
L'esclave lui descend dans l’arène
Où il est sonné d'obéir, sous la menace
De coups de fouets, il appartient à un propriétaire
La propriété est sans limite, en vérité
La dépendance est totale, vie ou mort.
vendredi 17 novembre 2017
Le chant du monde...
C'est
là tout vivant
Joie
paisible
Tout
respire.
Dissolution
en soi
Transparence
en l’autrePure énergie.
Des sous, des sous !
Et
l'autre,
Qui
n'arrête pas de compter ses sous
Ceux
qu'elle possède
Ceux
qu'il va falloir dépenser
Ceux
qu'elle espère gagner
Et
même ceux qu'elle n'aura jamais !
Elle
arrive ici avec un air
Elle
veut ceci et cela
Je
pourrais me fâcher
Mais
sans le faire exprès
Je
m'absente.
Glissement
Tout
glisse
Son
visage bouffi
Tout glissant.
Matthias Stomer
Oser ou pas, c'est selon
Le
conflit en soi est profond
Car
après tout dans le corps des batailles
Des
coopérations aussi, mais il y a bien des luttes
A
mort, au niveau des cellules
Qui
maintiennent l'organisme en vie.
Il en est ainsi pour la terre toute entière
Nous
sommes faits à son image, nous participons de cela
C'est
la condition de vie ici bas
Certains
prétendent en jouir, d'autres pleurent le paradis perdu.
Je
préfère considérer, et c'est en cela que je suis engagée
Que
cette condition est un passage, il y a des choses à apprendre
Se
nourrir en son sein, sortir de son sein, grandir
Devenir
autonome, Être libre.
Dans
ce développement, si le corps reste soumis à la naissance, à la
mort
L'esprit,
ou la conscience, ou l'âme, se libère à chaque pas
De
cette condition mortifère, atteint d'autres niveaux de conscience
Qui
sont aussi d'autres conditions, d'autres relations au monde.
Retour
à la source ? Non !
Vous
êtes vous déjà demandé
Pourquoi
ILS ne nous prennent pas sous ou sur leurs ailes ?
Impossible
d'atteindre l'indépendance d'esprit sous la guidance.
Quand
ILS interviennent c'est pour soulager de trop grandes souffrances
De
trop grandes peurs, de trop grandes colères, et encore
l'indifférence
Qui
sont inutiles, qui ne servent à rien, alors ils vous font fermer les
yeux
Et
dans leurs bras, l'oubli éternel et là, c'est un retour à la source.
Jean Martin
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