Des baleines

 

Une baleine, plusieurs peut-être
S'ébattent face à l’hôpital.

Retrouver sa propre relation au monde
Cette énergie en circulation.

Internet 

Pause

 

Pause

Paroles d'ailleurs

 

"Il ne mange pas le fruit et les cueille tous "
 
Ces mots retrouvés

Comme sur le chemin on trébuche sur une pierre

Alors se penchant on l’entend nous murmurer un secret…  

Je ne sais plus à qui les attribue
Ils ne sont pas sortis de ma bouche
Mais mon oreille les reçoit.
Ils me parlent de notre maladie et de sa guérison.

De la belle émotion

 

Se soigner de la noirceur de ce monde des hommes

Avec ces belles émotions qui font pleurer.

Quand tout est encore possible ! C'est beau !!

Monokubo

De la conscience et de la guérison

 

La conscience  comme une antenne

Ce qui est intéressant et plus encore

C'est lorsque cette antenne capte

Au-delà du bruit de notre monde

Malade, tellement malade

Les informations pour le guérir

Et donc nous guérir nous-mêmes.

La raison dira : coupe avec le bruit !

Elle propose de fermer la télé

L'internet, de ne plus écouter

Les commérages des uns et des autres

Elle ne sait pas la raison

Que le bruit circule sur des ondes

Que ces ondes sont partout, en tout.

Impossible donc de s'isoler

Nous sommes ce monde

Mais à l'intérieur, nous avons bien

Le moyen d'agir sur le niveau de ce bruit

Le travail sur nos émotions

Le travail sur la source des émotions

La chimie du corps, les hormones.

Déjà publié ici

MearOne

Eh bien soit !

 

Eh bien soit ! Ne guérit pas

Puisque tel est ton vœux

Garde en toi cette souffrance

Souvenir de ce qui n'est plus.

Nourrit là, comme on nourrit le tout petit

Mais sache que c'est ton choix.

Tééé 

De la convalescence

 

La nuit n’a pas porté bien loin

Ce n’est pas encore l’aube

Juste que depuis quelques heures

Le mouvement est ascendant

Comme celui de ce printemps au cœur de l’hiver.

Redécouvrir, le parfum, la chaleur douce de la nuit

Intense le jour, la présence dans ce retour en soi.

Prendre le temps, se poser vraiment

Pas seulement pour une seconde

Une seule fesse sur le bord de la chaise, prête à bondir.

Tout lâcher des émotions, des tensions, absolument tout

Entrer en ce silence

C'est bain de jouvence

Chaque cellule rencontre, s’ouvre, vibre, s’apaise.

Lac St Anne 

De la non-ironie

Chercher le sorcier et le trouver

C'est se guérir soi-même

De ce mal lancinant

Du "à quoi bon"

De ce monde d'imposteurs

Imposture !

"Il est", n'a aucun sens

Il est une chose et son contraire

A ne plus savoir, voilà 

L'au-delà de la preuve

L'au-delà de la consolation

Ne plus se perdre.

Déjà publié ici

                                                                                  

Tina Sokolovskaya 

Ordre et contre-ordre

Ils sont malades et veulent guérir

Mais ils refusent d'entrer en relation avec la guérison

Qui est changement profond !

Henri Magritte - Liaisons dangereuses

Place nette

L’amour commande de faire ce qu’il y a à faire

Dans l’attention la plus grande possible.

Une fois que cela est fait

Ne laisse aucune amertume, pas de rancœur

C’est place nette.

Bien sûr que nous sommes responsables

Non pour le passé !

Mais pour ce que nous engageons comme possible guérison

Au-delà de nos personnes.

 Internet

Les damnés

Ils resteront là, de toute éternité, ça doit être ça les enfers

Personne ne pouvant quoi que ce soit pour eux

Sauf à nourrir leur malfaçons

Eux seuls pouvant décider que c'en est fini de se lamenter.

Aussitôt un bol d'air frais pénètre leurs sombres demeures

Ne plus avoir de cesse que d'agrandir le trou du filet

Sous les encouragements des poissons libres de l'océan.

Encouragements des libres poissons ?

En vérité, il ne font rien de particulier, ils nagent, vaquent à leurs occupations

Se réjouissant de la beauté de l'éternel mouvement naissance et mort.