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mardi 14 septembre 2021

Ce fil... invisible

 

- Tu disais saisir un fil

Mais il n'y a pas de fil !


- Il y a le fil de la poésie, mon amie 

Celui qui nous fait exister dans l'absence de l'autre.



samedi 10 juillet 2021

Et la poésie, dis ?

 

Il y a aussi les poèmes qui ne s'écrivent pas en mots
Et qu'est-ce donc les mots dans un poème ?

L'univers tout entier pratique l'art de la poésie
Celle que l'homme produit avec les mots  n'en est qu'un pâle reflet. 

Il n'est qu'à voir la difficulté si ce n'est l'impossibilité de transcrire en mots 
La joie paisible, ou l'extase, ou encore un intense moment de lucidité. 
 
Qu'est-ce le beau si ce n'est ce qui prend sens dans le "tout" ?
Il en est ainsi de la mort aussi.




lundi 13 juillet 2020

Il disait ...

Il disait : 
"La poésie n'appartient pas à celui qui l'écrit
Mais à celui qui s'en sert".


Je riais, pur bonheur
De ces mots qui disent vrai
Qui libèrent !



Photo de Kathy Formal

vendredi 17 avril 2020

De la poésie


Aussitôt que tu nommes la chose
Elle disparaît
Pourtant il y a une façon de faire...

Dire sans dire, c'est poésie
La caresse à la pointe du pinceau
Le tranchant du burin
Tu ne saisis pas, tu ne retiens pas
Tu es ce feu sans fumée, ni résidu.



Giosuè Argenti 

mercredi 18 décembre 2019

Les épiphénomènes

La poésie et non le poète
La poésie chant du monde
Qui émane des corps connectés
Des âmes reliées. 
 
Le poète, la poétesse
Sont des épiphénomènes.

 

vendredi 16 août 2019

dimanche 7 juillet 2019

Eclats de...

Éclats de poésie à laisser respirer
Que toute injonction
Toute interprétation
Fait office d'étouffoir.


Déjà éteindre la nuit
Avec toutes ces lumières artificielles...

 
 
 

mercredi 14 février 2018

C'est l'été ...

C'est l'été les oiseaux gazouillent
Alors, bonne écoute des oiseaux !
Il est vrai que la poésie est langage des fleurs
Qui s'épanouissent au matin et fanent le soir
Langage des arbres et du vent dans les branches
Et quand le vent ne caresse plus les feuilles
Elles se tiennent coi
Langage de l'essentiel, jamais de superflu.
 
Nous parlions
Tant de douceur
Celle de la mousse, celle du regard du renard
Sur la prairie ondoyante
Nul besoin d'aller chercher le souvenir
En quelques salles obscures
C'est là, de tous temps
Ici, les oiseaux gazouillent même en hiver. 


*Déjà publié ici



samedi 17 juin 2017

L'homme de couleurs

Histoire, des histoires
Sans parole
Quand la parole fait mal
Par défaut toujours !!!

Poésie, poésie, mon amie... 
Salut les clowns, vous êtes les meilleurs !




lundi 4 juillet 2016