Écrire…
Le souffle est toujours là
Mais tellement serré au col
Comme on peut serrer des fleurs sauvages
Mais tellement serré au col
Comme on peut serrer des fleurs sauvages
En sa main.
Il
respire mal, fait la plainte.
Ouvrir la main…
A
la place des yeux
Là
où cela pense
Une
grande paix
Que
l’agitation de surface
Ne
peut perturber.
Une
clarté indescriptible
Se
laisser respirer
Par
l’âme du monde.