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lundi 31 mai 2021

Cette invitation

 

Sans cesse
Une invitation
A entrer dans la danse.


Anonyme : Sans cesse un refus d'entrer dans la danse !

- Si cela ne pouvait se refuser, ce ne serait pas une invitation...

Ariaga : C'est cette invitation quotidienne qui nous maintiens en vie.

- C'est vrai..


Merci à vous 


Winterlight Photography

jeudi 20 mai 2021

Ce rayon par ta fenêtre

 

Celui qui aura suivi ce qui se dit, ce qui se passe-là
Verra, tout ce qui bouge en même temps
Plus loin qui est plus profond
Voir dans sa propre participation.

Alors nous voyons bien la même chose
Qui traverse chaque fenêtre

Chaque fente aussi fine soit-elle.


Nestor : Comment vérifier qu'il en est ainsi ? Il a été établi scientifiquement que nous ne voyons pas la même chose.


- La question de la vérification est un sous produit de la question du "réel" qui s'oppose alors aux "fantasmes". L'esprit scientifique convaincu de pouvoir établir une frontière infranchissable qui justifie la confrontation d'un "réel" et d'un "non-réel", fait des expériences, les répète et énonce des conclusions : nous ne voyons la même chose.
C'est ok, à ce niveau nous ne voulons pas voir la même chose. Nous ne voulons surtout pas.

Maintenant si cela est possible, glissons ensemble dans cet "espace" où "tout est communication", ouvrez les yeux, il n'y a que Voir, alors "Voir la même chose".


Nestor : Comment puis-je savoir que j'ai glissé avec vous dans cet espace de communication ?


- Vous le savez déjà.... léger frémissement en vos sens étonnés, coup de vent sans vent. Cela communique... Rien à nourrir si ce n'est les regrets.


Victor : Ne craignez-vous pas d'être incomprise dans votre démarche ?


- L'incompréhension, c'est l'histoire d'une vie ça, c'est "l'histoire de la vie" tout simplement. Dans cette tension, le vivant crée ce monde si beau.
Avez-vous pensé que je cherchais à vous séduire ?


Victor : Je ne suis pas votre premier commentateur, j'ai suivi vos échanges. Non, je ne pense pas que vous cherchiez à séduire, mais c'est troublant.


- Ah en effet, Nestor et Victor, le "tor" m'aura trahie, lollll.
Vous avez donc perçu quelque chose, et le mental s'agite : qu'est-ce que cela ? Il se passe tant de choses qui échappe à nos interprétations habituelles, qu'il vaut mieux ne pas interpréter, laisser être. Des mots d'un ami : « La relation est au-delà de nos peurs et de nos attentes », c'est une chance !
Soyez en paix Victor, et Nestor aussi, tout est en vous.


Echange ici


Andrea Clare

lundi 29 mars 2021

Présence et résonance - Troisième (1)

 

Anonyme : La parole s'élève d'un vécu entièrement consumé et plane au-delà.


- Au-delà de la matrice de feu, une autre matrice...


Echange ici, merci. 


mardi 16 mars 2021

L'homme à l'oiseau

 

Anonyme : Abandon de la sève...Allégeance au vent.


- Les bras grands ouverts, il a été partout chez lui...


B. : Le réel est toujours sous l'emprise du rêve. Le réel est illusion. Le rêve est à la fois un échappatoire et une vision démastiquée du réel. Car sans ce monde tangible aucun rêve ne voit le jour. Rêver pour rêver est le paradis des êtres déconscientisées. La puissance de la volonté devient alors l'expression de nos profondeurs.


- Oui, sûrement qu'il en est ainsi, et le rêve ne cesse de s'accomplir...


Echange ici "Feuille au vent"


jeudi 11 mars 2021

Des échanges et des mots

 

Des mots …  Echange avec l'anonyme, merci. 


Anonyme : Mettant à leur insu la corde en lumière, ils favorisent la volte face de la libération.


- Volte-face : Oui, il vaut mieux faire face à notre plus grand ennemi...


Anonyme : à l'hydre de l'attachement...


- Une tête coupée en fait renaître mille...
Mais la ruse en rajouter une et c'est mille qui tombent.


Anonyme : Point de ruse, point de tête, juste l'énergie libre.


- Alors fallait pas parler de l'hydre... prisonnière de la mythologie.
Encore qu'il y a dans cette histoire comme dans toutes celles que l'homme a semées sur son passage quelque chose tenu enfermé...


Anonyme : Il n'y a en effet que de l'enfermé que l'on tente par des histoires d'exorciser...


- Étrange, les histoires sont toujours-là, l'enfermement aussi...
Voici que toutes ces histoires, de toutes les cultures, sont accessibles à tous.


Sebald Beham

mardi 23 février 2021

La rencontre ?


Anonyme : A des années-lumière de l'attendu, l'inattendu de la rencontre, sur fond d'oubli.


- La rencontre... c'est la mort, la mort du connu, du retenu, parfois cela ne se réalise qu'en la mort de ce corps. Dans l'ultime libération de la forme pensée et de toutes ses émanations.


Anonyme : C'est l'instant où l'énergie tranquille d'un fleuve fait sauter le barrage où le retenaient le connu, le retenu...


- Le réel ne cesse de se voiler et de se dévoiler, s'il n'en était ainsi rien n'existerait.
Je ne fais pas de ce qui se révèle en un éclair de lucidité, une vérité ...


Anonyme : L'éclair ne déchire que la nuit noire.


- La nuit la plus profonde, lumière noire, d'où jaillit en un éclair la lumière blanche...







dimanche 24 janvier 2021

Tes mots

 

Ariaga : Oui, mais ils ne sont pas perdus, car rien ne se perd dans la Totalité.


  • Peut être même que rien n'en est jamais sorti...


Merci Ariaga


mercredi 30 décembre 2020

Parler encore un peu...


B. : Le chaos est le pigment primaire de la chose organisée.


- La logique veut qu'il y ait toujours un lien entre ceci et cela.
Pas sûr que tout dépende de la logique...


Merci B. pour ces mots en partage 


samedi 26 décembre 2020

"C'est quoi la vie ?"

 

Si cela semble inaccessible

C'est que sans cesse nous nous opposons

A ce réel vivant, vibrant

Une névrose construite étage par étage.


Un instant suffit, toutes ces couches

Traversées, le travail commence.



Échange avec anonyme  ici

Merci


Anonyme : Le monde est toujours en travail, "ni commencement, ni fin".


- Oui, et pourtant je dis que le travail commence.

Moment de prendre conscience du travail en soi, moment de prendre conscience du travail dans sa propre espèce, moment de prendre conscience du travail du chant du monde en tout.


Anonyme : Toutes ces couches en un instant foudroyées. Même si on en remet après, le travail commencé ne connaîtra pas de trêves.


- (Rire), même pas sûr que cela cesse quand on est mort !
Peut être faut-il entendre le mot "travail" autrement que cette contrainte sociale (boulot, dodo)...


Anonyme : Plus proche du travail d'une femme en travail que de celui d'une femme au travail...


- ... ou de l'alpiniste à mains nues qui fait "un" avec la montagne.


Anonyme : ou du paysan, rythmé seulement par les saisons...


- Je pense à un film ; "C'est quoi la vie ?" de François Dupeyron,
Et là nous touchons à nouveau à :
« Ils ont dit les produits chimiques et phytosanitaires
Ils ont dit la génétique
Pour nourrir tous les hommes sur terre
Ils ont dit… »
Mais c'est donc que nous les avons crus
Nous leur avons abandonné nos vies
...



C’est quoi la mort, François Dupeyron? (1950-2016)

mercredi 23 décembre 2020

Imaginez la vie où "ce qui est" s'accomplit...

 

Imaginez la vie où "ce qui est" s'accomplit sans engendrer de désastres à venir.
Imaginez, marcher dans ce pays où les actions ne cessent de prendre fin pour qu'autre chose soit. Finir sans peur, sans regret, donc sans attente.
Imaginez, la légèreté, la beauté, le sérieux, la vérité, de ce pays du "toujours nouveau".
Imaginez, la responsabilité dans l'instant, et non plus la culpabilité pour toujours. Juste tension du bras, du corps, de la flèche qui traverse la ligne du temps.
Imaginez cette respiration, où les mots "fraternité", "égalité", "liberté", ne mentent plus, où la parole, le Verbe, s'accomplit.
Hé bien, tout cela Est, au-delà de cette condition dans laquelle nous nous sommes enfermés. A moins que l'enfermement ait été nécessaire à cette naissance. Alors admettre la nécessité, et pleinement se saisir de l'acte de mourir à... pour naître en conscience.


Échange avec l'anonyme ici 


Anonyme : Le vivant, pour le vivant, sait voie et gestes de l'accomplissement, sans roulement de tambour.


- Le vivant est aussi les êtres vivants, et donc l'homme qui fait tant de bruit.


Anonyme : Paradoxalement c'est le vivant empêché qui est le plus bruyant. Coups donnés contre la paroi, fut-elle imaginaire.


- Oui, mais ... Il est impossible d'être en dehors, nous appartenons au vivant toujours en évolution.
Le bruit est celui que fait l'aveugle avec sa canne.Il frappe l'air, perçoit un son, et le cerveau produit la représentation d'un sol, solide sur lequel il se déplace et ainsi de suite...
Tout cela est juste, et participe de l'évolution.
Cela ne se fera pas sans nous, puisqu'il s'agit de conscience.
Ou alors, cela se fera sans nous, une autre espèce prendra le relais.
Quoi qu'il en soit cela sera une nouvelle espèce !
Voilà ma pensée, en ce jour. 


Anonyme : L'homme est cette espèce dont l'évolution l'a conduit au pouvoir exorbitant d'intervenir sur l'évolution de la vie sur terre...Il craint maintenant sa main folle comme il craignait la main de Dieu...


- Oui, la peur a toujours accompagné l'homme. Et plus il a cherché à la vaincre, plus elle a grandi.
Nous voici, devant ce qui ne peut se solutionner qu'en chacun de nous.
Comprendre sa peur, comprendre dans le sens de ne pas se séparer... en chacun de nous...


Anonyme : Oui, la comprendre ainsi, jusqu'à ce qu'elle s'évanouisse...


- (Sourire), lorsque nous ne nous séparons pas d'une émotion, il n'y a pas de processus de nommer qui entraîne jugement ou justification (ceci est de la peur et je dois la contrôler), alors tout est à sa juste place dans l'attention.
C'est très puissant, l'attention...




dimanche 20 décembre 2020

Des échanges... B.

 

Ignorer

D'où l'on vient et où l'on va ?

Tout être vivant sait cela. 


B. : Il sait. C'est pour cela qu'il cherche l'horizon


- Mais l'horizon le touche dans le dos.


Echange avec B. ici

Merci !


mardi 15 décembre 2020

Présence et résonance

 

Anonyme : - Parole, en écho d'une écoute silencieuse.


- Ah, comme il est difficile de mettre en mots cette alchimie. Tout simplement elle lui parle nuits et jours, et ce faisant c'est lui qu'elle entend...


Anonyme : - Lui parlant elle sculpte le réceptacle où puisse résonner la parole attendue.


- L'intention, oui, est toujours du partage. Celui qui multiplie.


Echange avec Anonyme ici



Internet

mardi 17 novembre 2020

Des mots échangés

 

Jamadrou : JE ne peut être bateau fantôme.
JE vogue dans le ciel rêvé
JE vole dans la mer telle une colombe sauvage.


- Lol, "sans forme" vogue...


Emma : Retenu pourtant par un fil ténu à notre esprit partiellement inconscient.


- ... par ce fil, le vivant ne cesse de créer.



Ici, merci Jamadrou et Emma


lundi 16 novembre 2020

Le chemin qui n'est pas.


Jamadrou : Se mettre en chemin sans connaître son destin
ou
se mettre en danger en ne voulant plus avancer?


- Oui, illusion de pouvoir atteindre la sécurité...


Jamadrou : Illusion de pouvoir atteindre La vérité, la vérité n'est pas la sécurité, la vérité n'est pas, elle chemine.


- Oui, Jamadrou, pas de point fixe que nous pourrions atteindre...


Ici, merci Jamadrou.


mercredi 4 novembre 2020

L'arbre en toi

 

Des fondements à la couronne
L'arbre, au cœur de l'arbre
C'est le monde qui pense.


B : L'arbre, c'est la chemise des racines. 

Cédric : Je suis la sève, les feuilles, la racine; la cime, l'arbre, la forêt, l'univers.

Mémoire du silence : "Quand on dessine un arbre, on doit, au fur et à mesure sentir
Qu'on s'élève." Proverbe chinois

Vibration, vibration des fondements à la couronne ...
Merci, Mémoire du Silence, Cédric, B.



mercredi 28 octobre 2020

Sur twitter aussi

 

-Comment peut-on les tuer ? #animaux


C'est un crime, un crime contre l'humanité

Parce qu'au final c'est l'humanité qui se condamne

A ne jamais exister.



Andrei Zamiatin

Le crabe a placé des coraux sur son corps pour le camouflage

lundi 26 octobre 2020

Avec Merciel

 

L’acte juste


Merciel : C'est si juste ... Ici seulement il y a conscience, présence ... intégrité


  • L'efficacité naturelle qui agit en tout, partout, dans la Nature.
    Il n'y a que l'homme qui se sépare en culture, en élevage, en crimes, en éducation, en société, en représentations, en mensonge ! 
    Le comble de la mauvaise foi étant de prétendre que cette folie fait encore partie. Cela ne fait pas partie, c'est une bulle virtuelle à la surface de ce qui n'a pas de surface, là quelque part... La folie... Étrange...



samedi 24 octobre 2020

Le premier pas qui est aussi le dernier

 

Premier pas, en toute liberté, l'être tout entier.


Anonyme : Avant ce pas-là sur l'autre rive, le grand saut d'un aveugle dans le vide? 

Pas de grand saut, pas de vide, une force grandit là. 


Echange ici 


dimanche 12 juillet 2020

L'ouverture en soi.


-Laisser un espace en soi, comme on laisserait à sa table une place pour l’inconnu de passage.

-Oui, c’est tout à fait ça, dans ce brouhaha, toujours laisser pour qu’autre chose soit.



Échange avec Ron Uribe




mercredi 27 mai 2020

De ce jaillissement


- La blessure de ce jaillissement, c'est l'énergie du sourcier solitaire.

- Le sourcier solitaire frappe le sol
Et la source jaillit.

Pourquoi pas... je le vois arpenter la montagne, grand et sec comme les pins, le nez piqué dans la terre...


- Es-tu sans savoir que le sourcier ne frappe pas le sol?


- Cette histoire d'acte solitaire ne me concerne pas, c'est votre histoire. Comme vous revenez avec cette idée de battre la mesure ici, c'est une image qui s'est imposée.
Arpenter et frapper le sol.


Echange avec anonyme ici