Sans cesseUne invitationA entrer dans la danse.
Anonyme : Sans cesse un refus d'entrer dans la danse !
- Si cela ne pouvait se refuser, ce ne serait pas une invitation...
- C'est vrai..
Sans cesseUne invitationA entrer dans la danse.
Anonyme : Sans cesse un refus d'entrer dans la danse !
- Si cela ne pouvait se refuser, ce ne serait pas une invitation...
- C'est vrai..
Nestor : Comment vérifier qu'il en est ainsi ? Il a été établi scientifiquement que nous ne voyons pas la même chose.
Nestor : Comment puis-je savoir que j'ai glissé avec vous dans cet espace de communication ?
- Vous le savez déjà.... léger frémissement en vos sens étonnés, coup de vent sans vent. Cela communique... Rien à nourrir si ce n'est les regrets.
Victor : Ne craignez-vous pas d'être incomprise dans votre démarche ?
-
L'incompréhension, c'est l'histoire d'une vie ça, c'est "l'histoire
de la vie" tout simplement. Dans cette tension, le vivant crée
ce monde si beau.
Avez-vous pensé que je cherchais à vous
séduire ?
Victor : Je ne suis pas votre premier commentateur, j'ai suivi vos échanges. Non, je ne pense pas que vous cherchiez à séduire, mais c'est troublant.
-
Ah en effet, Nestor et Victor, le "tor" m'aura trahie,
lollll.
Vous avez donc perçu quelque chose, et le mental s'agite
: qu'est-ce que cela ? Il se passe tant de choses qui échappe à nos
interprétations habituelles, qu'il vaut mieux ne pas interpréter,
laisser être. Des mots d'un ami : « La relation est au-delà de nos
peurs et de nos attentes », c'est une chance !
Soyez en paix
Victor, et Nestor aussi, tout est en vous.
Anonyme : La parole s'élève d'un vécu entièrement consumé et plane au-delà.
- Au-delà de la matrice de feu, une autre matrice...
Echange ici, merci.
Anonyme : Abandon de la sève...Allégeance au vent.
- Les bras grands ouverts, il a été partout chez lui...
B. : Le réel est toujours sous l'emprise du rêve. Le réel est illusion. Le rêve est à la fois un échappatoire et une vision démastiquée du réel. Car sans ce monde tangible aucun rêve ne voit le jour. Rêver pour rêver est le paradis des êtres déconscientisées. La puissance de la volonté devient alors l'expression de nos profondeurs.
- Oui, sûrement qu'il en est ainsi, et le rêve ne cesse de s'accomplir...
Des mots … Echange avec l'anonyme, merci.
Anonyme : Mettant à leur insu la corde en lumière, ils favorisent la volte face de la libération.
- Volte-face : Oui, il vaut mieux faire face à notre plus grand ennemi...
Anonyme : à l'hydre de l'attachement...
- Une
tête coupée en fait renaître mille...
Mais la ruse en rajouter
une et c'est mille qui tombent.
Anonyme : Point de ruse, point de tête, juste l'énergie libre.
Anonyme : Il n'y a en effet que de l'enfermé que l'on tente par des histoires d'exorciser...
Anonyme : A des années-lumière de l'attendu, l'inattendu de la rencontre, sur fond d'oubli.
- La rencontre... c'est la mort, la mort du connu, du retenu, parfois cela ne se réalise qu'en la mort de ce corps. Dans l'ultime libération de la forme pensée et de toutes ses émanations.
Anonyme : C'est l'instant où l'énergie tranquille d'un fleuve fait sauter le barrage où le retenaient le connu, le retenu...
Anonyme : L'éclair ne déchire que la nuit noire.
- La nuit la plus profonde, lumière noire, d'où jaillit en un éclair la lumière blanche...
Ariaga : Oui, mais ils ne sont pas perdus, car rien ne se perd dans la Totalité.
Peut être même que rien n'en est jamais sorti...
B. : Le chaos est le pigment primaire de la chose organisée.
-
La logique veut qu'il y ait toujours un lien entre ceci et cela.
Pas
sûr que tout dépende de la logique...
Merci B. pour ces mots en partage
Si cela semble inaccessible
C'est que sans cesse nous nous opposons
A ce réel vivant, vibrant
Une névrose construite étage par étage.
Un instant suffit, toutes ces couches
Traversées, le travail commence.
Merci
Anonyme : Le monde est toujours en travail, "ni commencement, ni fin".
- Oui, et pourtant je dis que le travail commence.
Moment de prendre conscience du travail en soi, moment de prendre conscience du travail dans sa propre espèce, moment de prendre conscience du travail du chant du monde en tout.
Anonyme : Toutes ces couches en un instant foudroyées. Même si on en remet après, le travail commencé ne connaîtra pas de trêves.
-
(Rire), même pas sûr que cela cesse quand on est mort !
Peut
être faut-il entendre le mot "travail" autrement que cette
contrainte sociale (boulot, dodo)...
Anonyme : Plus proche du travail d'une femme en travail que de celui d'une femme au travail...
- ... ou de l'alpiniste à mains nues qui fait "un" avec la montagne.
Anonyme : ou du paysan, rythmé seulement par les saisons...
-
Je pense à un film ; "C'est quoi la vie ?" de
François Dupeyron,
Et là nous touchons à nouveau à :
« Ils
ont dit les produits chimiques et phytosanitaires
Ils ont dit la
génétique
Pour nourrir tous les hommes sur terre
Ils ont
dit… »
Mais c'est donc que nous les avons crus
Nous
leur avons abandonné nos vies
...
Anonyme : Le vivant, pour le vivant, sait voie et gestes de l'accomplissement, sans roulement de tambour.
- Le vivant est aussi les êtres vivants, et donc l'homme qui fait tant de bruit.
Anonyme : L'homme est cette espèce dont l'évolution l'a conduit au pouvoir exorbitant d'intervenir sur l'évolution de la vie sur terre...Il craint maintenant sa main folle comme il craignait la main de Dieu...
Anonyme : Oui, la comprendre ainsi, jusqu'à ce qu'elle s'évanouisse...
Ignorer
D'où l'on vient et où l'on va ?
Tout être vivant sait cela.
B. : Il sait. C'est pour cela qu'il cherche l'horizon
- Mais l'horizon le touche dans le dos.
Merci !
Anonyme : - Parole, en écho d'une écoute silencieuse.
- Ah, comme il est difficile de mettre en mots cette alchimie. Tout simplement elle lui parle nuits et jours, et ce faisant c'est lui qu'elle entend...
Anonyme : - Lui parlant elle sculpte le réceptacle où puisse résonner la parole attendue.
- L'intention, oui, est toujours du partage. Celui qui multiplie.
Jamadrou :
JE ne peut être bateau fantôme.
JE vogue dans le ciel rêvé
JE
vole dans la mer telle une colombe sauvage.
- Lol, "sans forme" vogue...
Emma : Retenu pourtant par un fil ténu à notre esprit partiellement inconscient.
- ... par ce fil, le vivant ne cesse de créer.
Jamadrou :
Se mettre en chemin sans connaître son destin
ou
se mettre en
danger en ne voulant plus avancer?
- Oui, illusion de pouvoir atteindre la sécurité...
Jamadrou : Illusion de pouvoir atteindre La vérité, la vérité n'est pas la sécurité, la vérité n'est pas, elle chemine.
- Oui, Jamadrou, pas de point fixe que nous pourrions atteindre...
Ici, merci Jamadrou.
-Comment peut-on les tuer ? #animaux
C'est un crime, un crime contre l'humanité
Parce qu'au final c'est l'humanité qui se condamne
A ne jamais exister.
Andrei Zamiatin
Le crabe a placé des coraux sur son corps pour le camouflage
Merciel : C'est si juste ... Ici seulement il y a conscience, présence ... intégrité
L'efficacité
naturelle qui agit en tout, partout, dans la Nature.
Il n'y a
que l'homme qui se sépare en culture, en élevage, en crimes, en
éducation, en société, en représentations, en mensonge ! Le
comble de la mauvaise foi étant de prétendre que cette folie fait
encore partie. Cela ne fait pas partie, c'est une bulle virtuelle à
la surface de ce qui n'a pas de surface, là quelque part... La
folie... Étrange...
Premier pas, en toute liberté, l'être tout entier.
Anonyme : Avant ce pas-là sur l'autre rive, le grand saut d'un aveugle dans le vide?
- Pas de grand saut, pas de vide, une force grandit là.