Oser

Oser cette mouvance

Au plus profond

Tressaillement de l’âme

Dans son dépouillement

Au bord des larmes

S’ouvrir dans cette béance

Paix, grâce, extase

La perle doucement

Pour le monde

Reconnaître

Le bout de l'être.

Déjà publié ici  

Canyon de l'Antilope

En ses notes cristallines...

L'imaginer, s'en souvenir, ce n'est pas entendre

Le murmure de la source en ses notes cristallines

Cristal de roche

Son vibré et non frappé

Ne peut être perçu que dans le silence.

Le silence ne veut rien

Ne demande rien

Ne refuse rien.

Qualité rare de l'instant présent.

Eclat de rire cosmique

Du corps nous ne connaissions que plaisirs ou déplaisirs

Autant dire, rien qui ne concerne le corps

Du corps nous ne connaissions que limitations

Autant dire rien qui ne concerne la matière.

Sur la base de cette ignorance

S'enfermer, dessiner un bocal

Avec des parois, une place, et nager

Nager en rond dans ce réduit

Et dire des lois, les lois du bocal

Oublier qu'un vaste monde existe

Au-delà de nos restrictions mentales.

Et puis se cogner sur les parois

Et puis se coller aux parois

Enfin sentir une vibration

Rien n'est parfaitement fermé

Rien n'est parfaitement étanche

Et bientôt les parois résonnent

Et informent du dedans, du dehors.

Pourquoi ce bocal ?

L'avons-nous en conscience produit ?

Pourquoi l'oubli ?

Est-ce ma raison qui dit que tout cela est juste ?

Justification d'une représentation ?

Peut-être... je ne saurais affirmer une chose ou une autre

Juste que dans cette "Nouvelle" respiration "Cela" communique.

Déjà publié ici  

 

Stephen Hawking

"Tout est lié"...

"Tout est lié"
Cela ne parle pas de ce niveau de confusion
Ne parle pas de la grappe qui tire vers le bas, toujours
Par-devers toi, seul par devant, est la seconde naissance.

"Tout est lié", c'est une chanson !

Source

Onde carmine

En ses secrets, sacrés

Toute la nuit... aimer

Le corps en un dialogue

Et tellement de plaisir

Extase infinie

Sans cesse renouvelée

A chaque étincelle

De conscience.

Toute la chambre et la maison

Baignant dans ce chant ondique

Onde carmine, feu sans fumée

Ni résidu.

Sébastien Plassard

Du chant vibratoire

Se reposer en soi

C'est quelque chose !

Incommensurable position

Plaisir si profond

La jouissance n'a ni commencement

Ni fin...

Le coup d'arrêt n'est que pour la séparation

La séparation en esprit, seulement !

Sammy Slabbinck

De ce plaisir...

Le plaisir est si intense dans cette condition

Ni au-dessous, ni au-dessus de la surface des apparences

Ni au-dedans, ni au-dehors des prisons de l'esprit, des mensonges du système

L'intensité habite les profondeurs de l'être... vraiment !

De ta relation au monde... en prendre soin

Les ondes sont circulaires
Je ne sais pas pourquoi on les représente en ligne 
- A cause des vagues peut-être...
Mais les vagues ne sont que la manifestation visible de l'onde.


Les cercles sont dynamiques, ils forment des spirales
Je ne sais pas pourquoi on les représente à plat, inerte
- Pour définir des propriétés peut-être...
Mais les définitions sont des restrictions, limitations.


Ainsi pour peu que tu prennes ces représentations pour des vérités
Ta relation au monde se trouve réduite à peau de chagrin
La sensibilité de ton corps, de ton esprit, de ton âme déclinent
Tu ne perçois plus le chant du monde, entre toi et lui... tous ces mensonges.

TeamLabcreates interactive whirlpools inside National Gallery of Victoria

A toi mon ami, éternel ami, je vois ton sourire...

On peut être amoureux sans attente de retour
Alors connaître toujours cet état si particulier

Qui n'est autre que circulation des énergies.

On rencontre cela au bout de la souffrance d'aimer

Et ne pas être aimer en retour.... c'est qu'on attendait

Parfois même on aura exigé.

C'est beau, c'est fort, c'est puissant, vibration

C'est salvateur ! Et s'il y a parfois des rechutes

Jamais elles ne font retomber aussi bas, qui est de regretter.

Kuldar Leement

La musique terrible.

Tu as vu ?

Plus on avance, plus ils ont les fouettes !

Certains rebroussent chemin, croyant suivre le notre

D'autres continuent, longeant les murs

Parois du tunnel en eux

Ils sont persuadés que, s'ils ne sont pas vus !

« Pas vu, pas pris ! » Voilà ce qu'ils pensent.

Nous, nous qui marchons devant nous faisons beaucoup de bruit

Un beau vacarme orchestré de percussions, de cordes pincées et frottées

La Flûte ? Non pour le moment les basses des trompes, radongou ou ragdong

La Flûte c'est pour la fin, la sortie du tunnel...

Cette tonitruante musique c'est pour les effrayer, Vrai !

Que ne viennent que ceux qui n'ont plus peur de rien

Pas même de mourir, cet absolu inconnu.

Mourir c'est l'absolue solitude, naitre à la liberté. 

 

Radong