Je
ne connais qu’une seule voix, celle du dépouillement
Et c’est
encore et toujours de la fioriture
Mais
voilà qu’en cet instant grâce lui est accordée
Peut
être bien, parce qu’aimer est de l’instant
Là
où rien ne juge, ni revendique le temps de devenir.
Magie
de l’instant présent
Vide
de tensions
Plus
précisément
Œil
du cyclone
Là,
où le bras s’est levé
Pointer
la trouée !
Merci