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mardi 10 octobre 2023

De la confiance

 

Alors, tu ne fais confiance ni à la police, ni au gouvernement, ni aux syndicats, ni aux médecins, tu ne fais confiance à personne !
Je ne fais confiance à aucune institution, à aucun représentant de ces institutions, à aucune personne qui se revendique d'un statut, d'une spécialisation, les experts !
Mais si tu es malade !
Voilà, c'est ça. J'ai repensé jusqu'à la maladie, ne pas me séparer de ce que le corps dit, je suis ce corps, mon esprit n'est pas séparé, il est ce corps, nous avons plusieurs corps. Et puis le jeûne, la puissance curative, purificatrice du jeûne. Il y a des années maintenant que je me soigne en jeûnant, à chaque fois c'est plus profond...

Je la regarde avec les yeux du dedans, elle est en colère, elle ne comprend pas, ne veut surtout pas être contaminée, c'est dangereux ! Pour elle, c'est dangereux, je suis donc dangereuse. Ce qu'elle ne sait pas, c'est que ce qu'elle prend pour un sentiment de confiance, et cela lui fera dire « J'ai confiance en l'humanité, moi ! », n'est autre que la peur de Voir la réalité de ce système mensonger. Et les voilà à travailler, gagner des sous, payer des impôts, tellement d'impôts, les enfants à l'école, c'est une course que le meilleur gagne ! 
Et tous viennent s'écraser contre la palissade, les voilà vieillissant, les voilà vieux, les voilà malades, et voilà la mort.





Merci Mala : Oui, la peur de ne plus faire partie, mais partie de quoi ?

Miche : Oui, folie que cela que nous faisons partie, tout autant que nous sommes le tout !
Mais voilà le penseur se pensant séparé imagine qu'il pourrait être exclu ...



lundi 14 mai 2018

En marche la modernité marchande

Les activités humaines, rouleau compresseur
Avance, écrase, détruit
Inexorablement c'est œuvre de destruction
Pour la nature, pour le règne animale, pour le règne végétal
Pour toutes créatures non conformes
Non utiles à son expansion.

Elle se nourrit cette entreprise de la chair
De l'animal, du végétal, de celle du pauvre
Du sans logis, de l'immigré, de l'exilé
Et puis elle se nourrit encore avec ceux qu'elle met au travail
Et encore avec les petits chefs, petits capots, petits maîtres... 
 
Les beaux chants se sont tus, on n'entend plus
Que les rouages de la machine qui digère
Digère ces quantités phénoménales !

Le cauchemar est devenu réalité
Et j'entends les beaux chants toujours plus loin
Et j'avance quittant ce monde des hommes vers cet écho lointain
Si beau chant de mon amour...




mardi 25 avril 2017

Les héros étaient blancs

Et puisque cela parle de races
Ne pas oublier que cette race
Est celle qui a perpétré l'esclavage
A grandes échelles, d'un continent à l'autre
Asservissant la terre, les espèces végétales, animales
L'homme, noir, jaune, et le blanc aussi !

Que ne le sait-il le petit blanc
Le petit propriétaire
Le petit travailleur
Que ne le sait-il que lui-même est esclave
De ce système
Aussi dans sa tête !



mercredi 22 mars 2017

Codes, barrés

Nos empreintes, uniques
Pas seulement celles du bout des doigts
Le timbre, la testure de la voix
Le parfum si intime de l'être
Unique, nous sommes vraiment
Alors, pourquoi ?

Pourquoi s'être laissé barrer
Comme des codes barres ?

lundi 13 mars 2017

Vieille femme indigne (2)

Ils disent : c'est de l'assistanat !
Ils disent : il faut les éduquer, ce sont des feignants, des mécréants... au travail !
Oui, souvent, leurs discours sont plus "francs" (comme dit ma voisine), on n'hésite pas à insulter grossièrement.
Mais de quoi, de qui, parlent-ils ?

Ils parlent de ces droits intrinsèques à la vie (nourriture et un toit ). Ces droits que tout homme sauvage, tout animal, possède, ces droits confisqués par le système. Allez-donc maintenant vous nourrir de vos cueillettes de fruits ou d'herbes ! Tout est privé, privé de liberté, ce n'est que propriétés et propriétaires !
Allez-donc vous construire un abri, ne serait-ce que pour une nuit !

Ah mais qui, qui, le met en péril ?
La pauvreté a toujours pour origine un vol, un viol, un crime.