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dimanche 17 septembre 2023

Et ce travail ?

 

- Quel est ce travail à faire ?


Si la question est tienne, je veux dire si elle jaillit de ta propre matière, elle participe de ce travail.






dimanche 28 mai 2023

L'univers en travail

 

Ce travail ?
Mère et enfant connaissent en leur chair
Le sens profond…

Nous le connaissons donc tous
Toutes espèces confondues
Et l’univers qui ne cesse de naître…






samedi 15 octobre 2022

jeudi 25 août 2022

La berceuse

 

Ces mots, comme la berceuse que je chantais à petit Sam
L’autre jour il m’a fait remarqué que…
Oui, juste qu’avant cela, il n’y avait pas la définition
La musique de la voix
L’air vibrait doucement la coquille
Et l’enfant s’endormait.
 
C’est donc bien qu’à un moment cela ne suffit pas.


lundi 10 janvier 2022

Ne pas confondre !


Juste la force de se plaindre
Sans Voir que dans la plainte
Toutes les forces vives …
Une fuite, plus d'énergie.

Ne pas confondre le travail pour se conformer
Se soumettre, faire taire en soi !
Et le travail lié au changement radicale
Voir le fait ! Liberté !


lundi 30 août 2021

Ce travail

 

Comment prétendre être des sujets, des êtres de conscience
Si nous ne sommes pas en mesure de "toucher" à nos instincts biologiques
Instincts au service du vivant mais d'une manière globale 
Qui ne permettent pas l'émergence d'une conscience individuelle.

Comment prétendre "toucher" la matière qui nous fait
Si nous sommes ignorants des conditionnements sociaux, culturels
Surajoutés, tels des habits, des masques, tant d'hypocrisie ! 

Plutôt que de travailler avec la nature, avec l'intelligence du corps
Nous avons pris peur de notre nudité 
Il n'y a pas plus nue que la matière humaine
Sans poil ou quasiment, sans griffe, sans croc, sans cuirasse.

N'est-ce-pas le signe qu'autre chose est attendu de cette espèce ? 
Et finalement de chacun de nous ?




Lylean Lee

mardi 25 mai 2021

Le travail se saisit de tout

 

« L'homme est-il bon ou mauvais ? »


Rousseau et Voltaire ont considéré que l'homme est mauvais, et chacun a produit son explication sur les causes. Pour l'un la société est ce qui le rend mauvais, pour l'autre la société est ce qui lui permet de devenir bon.
Nous pouvons encore aujourd'hui nous opposer sur les réponses, chacun son opinion plus ou moins argumentée.
On peut faire des pirouettes, et dire que l'homme est un produit de l'évolution qu'il continue à évoluer et de ce fait n'est ni bon, ni mauvais. 
On peut utiliser la logique qui est de constater que puisque l'homme cherche et s'engage sur des voies spirituelles ou de développement personnel, ou de guérison, c'est bien qu'il a besoin de changer et donc qu'il est mauvais.
Lorsque le processus de pensée aboutit à une conclusion qui nous satisfasse, on laisse la question...  jusqu'à la prochaine fois !
Voilà ce qui retient mon attention, cette question et d'autres similaires ne cessent de se présenter, sans jamais trouver de véritable réponse puisqu'elles se présentent à nouveau.

Là je me penche sur ma propre personne, que se passe-t-il ? Des forces travaillent, qui ne cessent de travailler à tous les niveaux. 
Où suis-je ? Que fais-je ? 
Un instant je tente la position du sujet qui maîtrise son objet, et vlan, patatras, un silence se fait dans lequel la question n'a plus de sens.

Conclusion : se poser ce genre de questions a certainement son utilité, cela participe du travail à travers nous, à travers notre espèce, mais ces questions sont définitivement sans réponse. 



Ariaga : Je crois qu'il n'est ni bon ni mauvais car ces mots sont des jugements ...


- La partie ne peut pas juger d'elle-même. Si elle est par trop dysfonctionnante dans un plan global, elle se trouve éradiquée. Je pense que chacun de nous sait cela au plus profond, dans ses actes, cela a donné lieu à l'idée de "jugement dernier". Dans cette course contre la nature, quelle est l'avenir de notre espèce ?


dimanche 15 mars 2020

Le travail du vivant


Revenir à soi ?
Mais c'est revenir au monde
Quitter cette posture
Ô combien inconfortable
De la frontière
De la coquille où se tient enfermé
Le fœtus à naître
Ne plus s'identifier à la partie
Tout en cherchant à dépasser les limites.

Les limites sont par nécessité
Travailler avec elles
C'est ce que fait le vivant
En nous.




Bertha Wegmann

jeudi 11 avril 2019

L'enfant avait marché


Est-ce une fin en soi ?
Non, et ce qui me permet de l'affirmer
C'est qu'en concomitance et même précédant
Ces états de conscience si lumineux
Une conscience accrue que ça cloche grave
Dans le monde que nous faisons, nous les hommes.
Un regard sur toute cette misère, dans l'enfance de l'enfance
Un sentiment d'urgence jusqu'à la désespérance
Qu'une première expérience d'extase a reçu.

L'enfant avait marché dans toute cette beauté
Un chemin d'évidences
Et puis cela l'avait laissée avec des idées impossibles à partager
Cette image en elle d'un autre niveau de relation
Qu'elle ne trouvait en aucun, et pourtant une confiance absolue
Cela serait.

Ce n'est pas une fin en soi
C'est un passage, c'est un travail
Une reconnexion au chant du monde
Pour qu'autre chose soit
Qui n'appartient à aucun
Qui nous concerne tous
Qui est de l'intention du monde
Évolution.






samedi 5 janvier 2019

Le travail de la conscience (3)

Être là et n'y être pas
L'énergie se décline en plusieurs couleurs
Toutes réfractions.
 
Interconnexions dans la lumière invisible
Celle qui n'éblouit pas
Claire conscience.
 
En esprit ?
 
En corps aussi, pas de séparation !
Dans toutes les directions
Insufflées par un fluide
Discernable pour ce qui s'ouvre.

 
Dans cet état de transparence
Il n'y a qu'à regarder
Et regarder, c'est entendre
Et entendre, c'est toucher
Et toucher, c'est traverser
Tout est si beau !

Impossible en cela
D'affamer son voisin
De vouloir le diriger
De quelques façons
Que ce soit.




samedi 24 novembre 2018

De l'attention

Une partie du travail consiste à
Ne pas se laisser envahir par la pression néfaste
De ce monde toujours plus incohérent.

Respirer dans la profondeur de son puits
Où la forêt est si profonde, lumière !

Dans ma tête fleurissent les prés de pissenlits
De myosotis, de blanches pâquerettes.




vendredi 7 septembre 2018

De l'absence et de la présence

Être là et n'y être pas
L'énergie se décline en couleurs
Réfractions, longueurs d'onde.
 
Interconnexions dans la lumière invisible
Celle qui n'éblouit pas
Claire conscience.
 
En esprit ?
 
En corps aussi, pas de séparation
Dans toutes les directions
Insufflées par un fluide
Discernable dans l'ouverture.

 
Dans cet état de transparence
Il n'y a qu'à regarder
Et regarder, c'est entendre
Et entendre, c'est toucher
Et toucher, c'est traverser
Tout est si beau !

Impossible en cela
D'affamer son voisin
De vouloir le diriger
De quelques façons
Que ce soit.




jeudi 6 septembre 2018

Le travail de la conscience

La conscience de soi se fait déjà 
Par la conscience de l'état de séparation  
Cela est incontournable  
Et fait beaucoup d'histoires  
Et tant de tentatives de construire des ponts  
Mais ces ponts ?  
Ces ponts sont des barrages  
Des complications a n'en pas finir.
   
Reste tranquille !  
Goûte-le cet état de la séparation  
Laisse-le dire ce qu'il a à dire  
En lui, se révèle l'état de non-séparation.


Déjà publié ici  


 Internet

samedi 31 mars 2018

De la rigueur


C'est encore rare, un être humain qui marche 
Avec pour seule lumière, ce travail en lui 
La source est là, en chacun de nous. 



Josephine Wall

vendredi 2 février 2018

Ce travail...

« Travailler sur soi... »
Je l'écoute dans ce qu'elle entend dans ces mots :
« Se conformer à la loi, à la règle des êtres supérieurs
Des experts, des spécialistes, des dirigeants, de dieu bien sûr !
Pour elle c'est ça le travail sur soi, surtout ne pas écouter ce qui se dit en elle
Que cela ne peut être que mauvais si ce n'est pas dirigé de main de maître !



                                       Peter Adderley

dimanche 14 janvier 2018

"Avec", ce n'est pas contre !

Si nous avions travaillé avec la nature
Nous n'en serions pas là !
Mais tout devait être soumis
L'enfant, la femme, le soldat
L'arbre, la forêt, les océans
Le loup !


Maintenant ?
     Respirer...


Ils ont voulu nous faire croire
Qu'il y avait quelque chose de plus important
Que de respirer...


Mais il n'y a rien de plus important.

Respire mon ami(e), respire... 



                                           Internet

jeudi 11 janvier 2018

Le travail... Voir

Ils ont tout opposé
Des classes sociales
L’homme et la femme
La jeunesse et la vieillesse
Le corps et l’esprit
La maladie et la bonne santé
L’homme et la nature
Le divin et le profane
Tout absolument tout.
 
"Ils", qui sont-ils ?
"Ils" n’ont d’existence que le temps de Voir
Le processus en soi qui fait perdurer cette dualité conflictuelle.
 
Le premier effet de Voir se manifeste alors
Certains de ces termes disparaissent tout simplement
Ne restent que ceux qui sont opposés par nature
Complémentaires, émergeant du vivant
Se rencontrant pour donner naissance.
 
Le travail ne prend jamais fin
Voir est aussi infini que l’est le vivant… 



Jordi Sabat

lundi 28 août 2017

Ma liberté est responsabilité

L'art en tant que belles images
Et dieu qu'elles sont belles !
Je les aime

Mais attention, à ne pas s'endormir
Juste le temps d'un juste repos
Une récréation.

Déjà d'autres images se proposent
Vas-tu les écarter, surtout ne pas être
Troublée ?

Les belles images ?
Oui, c'est aussi la nature
Pas seulement en photo.

Ce joli coin de verdure
Où il ferait si bon s'étendre
Sans penser à rien.

Au-delà du temps raisonnable
A se ressourcer auprès de la beauté
L'esprit plonge dans le déni.

Le déni ?  Se frapper la poitrine
De l'intérieur.
On ne peut pas ignorer totalement.

On ne peut pas passer à côté de cette souffrance
Surajoutée par nos activités, sans que celle-ci
Agisse en nous.

Elle agit
A nous de décider de quelle manière
Elle doit le faire.



 Vittorio Matteo Corcos - La Vestale

lundi 13 mars 2017

Vieille femme indigne (2)

Ils disent : c'est de l'assistanat !
Ils disent : il faut les éduquer, ce sont des feignants, des mécréants... au travail !
Oui, souvent, leurs discours sont plus "francs" (comme dit ma voisine), on n'hésite pas à insulter grossièrement.
Mais de quoi, de qui, parlent-ils ?

Ils parlent de ces droits intrinsèques à la vie (nourriture et un toit ). Ces droits que tout homme sauvage, tout animal, possède, ces droits confisqués par le système. Allez-donc maintenant vous nourrir de vos cueillettes de fruits ou d'herbes ! Tout est privé, privé de liberté, ce n'est que propriétés et propriétaires !
Allez-donc vous construire un abri, ne serait-ce que pour une nuit !

Ah mais qui, qui, le met en péril ?
La pauvreté a toujours pour origine un vol, un viol, un crime.

lundi 20 février 2017

Au cœur des cellules, connexions quantiques

Impossible d'ignorer le travail qui se fait en le corps
Il est audible, toujours plus audible
Et la conscience peut maintenant percevoir
Le degré d'ordre qui se réalise.

L'intention est bien : plus de conscience.