Et puis, plus rien... le silence
Et c'est bien...
Comme un oiseau blessé
Qui ne peut plus voler
Il lui faudra apprendre à marcher
Jusqu'au moment de passer.
Un jour le fils fit ce rêve :
« Nous étions les quatre petits, toi et moi, dans le virage après la ferme où les chiens ont été attaqués par ce boxer fou. Un camion blanc, un gros camion est arrivé à vive allure … tu étais sur la chaussée, il t'a happée, il a disparu et toi aussi.
Plus tard j'étais rentré chez moi, tu es arrivée, c'était bizarre. Tu m'as dit : « Regarde j'ai tout ce qu'il faut pour passer. Et tu as sorti d'un sac un à un, je ne sais plus quoi, tu me montrais. Et puis tu es partie. »
Oui, là-bas nous sommes déjà.
- Le train passe, passe
Oui, tout passe, heureusement !
Cela nous fait au final un beau voyage.