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dimanche 27 juin 2021

Prise de conscience, c'est irréversible

 

Le partage multiplie

Il ne fait pas semblable

Il ne fait pas rassemblé en un troupeau

Il ne fait pas marcher du même pas, cadencé.


Mais alors la question de ne plus manger des animaux

De ne plus pratiquer l'élevage, le dressage ?


- Cela doit venir de l'intérieur de la personne


La question, dans le véganisme, c’est de savoir comment créer le moins de dégâts possibles autour de soi. En consommant 100 % végétal, on consomme finalement moins de végétaux qu’en consommant de la viande. Parce que les animaux aussi ont mangé de l’herbe ou des céréales. Quand on consomme un steak, on consomme aussi les végétaux que le bœuf a mangés. Si vous voulez sauver les végétaux, mangez 100 % végétal, vous en épargnerez bien plus, tout en épargnant aussi les animaux.

BrigitteGothière, fondatrice directrice de l’association L214


Merci

dimanche 8 septembre 2019

"Cela" agit

Comme si c'était une question de choix, entre raison et déraison
Mais il ne s'agit pas de ça
Raison et déraison sont les deux faces de la même pièce.

Quand un système dépravé ne parvient à se maintenir
Qu'à coup de toujours plus de mensonges
Quand se révèle au grand jour les malfaçons, les exploitations
C'est le grand retour des prophètes, des fous de dieu
Interprétations des écritures dites saintes
Et là nul doute, l'homme n'a pas changé d'un iota
Superstitions, prédications, élitisme, prosélytisme
Manipulation des esprits apeurés
Par la débauche égotique de ces soi-disant élus.

Ceci dit, ne faisons pas des boucs émissaires
De ces caricatures du « Je sais pour toi, dieu m'a désigné »
Ils sont les révélateurs de notre mode de fonctionnement
Qui consiste à s'en remettre à autrui pour savoir quoi penser
Ce qui ne fait que fortifier ce mode de fonctionnement
Acquis dès l'enfance de l'humanité.

Ils sont donc utiles ces extrémistes, utiles à Voir
Ce mode de fonctionnement en action
Qui se révèle instantanément dans toutes ses formes
Celles qui sont décriées par le consensus
Celles qui sont admises par le consensus
Celles qui sont prescrites par le consensus
Celles qui ont pris corps en chacun
Là où je me pense une entité séparée.

J'ai donc trouvé quelques intérêts dans cette méprise
Celui de m'identifier, de me projeter
Loin, loin, là-bas, Moi, le rayonnant, le véritable
L'absolu, l'éternel par la continuité.

Est-ce une question de choix
Un renoncement à la méprise ?
Non !
Le choix est encore de ce Moi
Qui raisonne autant qu'il déraisonne.

Cela ne cesse de frapper à la porte
Ne plus empêcher le chant du monde
De pénétrer la maison
La maison est le corps
En communication avec tous les autres corps
Cela agit.


Déjà publié ici


Internet

jeudi 5 septembre 2019

Le mur de Planck


Plus de formes …
De petites cellules dansent
De toutes les couleurs, elles dansent.

Avant ce niveau de vibration, de conscience
Elles ont traversé un mur si sombre
Un mur si dense.



Concentration

Expansion 

jeudi 16 mai 2019

Je suis ce monde...

Mon bonheur dans tout ça ?
Futile question !
Le bonheur serait-il faire avec tout ça
Faire comme si nous ne faisions pas ça
Toujours plus dénaturés ?

Je suis ce monde et c'est en moi qu'il change
Voir encore et encore l’étendue des dégâts
Que ces informations agissent encore et encore
Dans la matière que je suis.

Et lorsque la joie spontanée surgit
Corps de lumière, l'information est intégrée
C'est de conscience dont il s'agit. 




mardi 5 février 2019

Le ciel comme témoin

Le ciel témoigne
Traversé de part en part par cette vacuité, plus que la lumière
Les nuages qui passent ne peuvent voiler sa présence
Ils resplendissent en un scintillement infini.

Toute forme vibre à ce chant
Les pierres, les végétaux dansent et crépitent
Rien ne peut faire taire la voix qui se dit là
Dans le silence et le vacarme à la fois
Le vacarme de tout ce qui gémit sous l’intense caresse
Et puis sentir au cœur, la force qui agit parfaitement immobile.

Revenant, le fil électrique suspendu au-dessus de la petite route
Accroche quelque chose qui vibre en résonance
Plus rien ne sépare l’objet et l’observateur
Vacuité jouissant d’elle-même.
 
Se révèle le mensonge des concepts, qui réduisent
L’amour universel à un principe moral, coupé des sensations
La pauvreté de l’émotion intellectuelle séparée du corps.

Tout se parle, s’enchante, la feuille, la montagne
Tout est langage, chant d’allégresse
C’est venu se dire, en toute simplicité, et cela agit en tout.




Tapety na pulpit komputera, telefon, tablet

dimanche 2 décembre 2018

Conscience et évolution ?

La raison (petit mental, intellect, conscience de moi) ne peut pas saisir ce qui est au-delà de sa propre limitation, mais elle peut "ne pas en juger". Ce "je ne sais pas" fait l'esprit silencieux, non pas suspicieux, suffisamment silencieux.
Alors, ce qui est au-delà de la limitation raisonnée se révèle...

Les manifestations premières sont de l'ordre d'un "bien-être" profond, que l'on dira sans cause et sans objet puisqu'on ne peut en reconnaître aucun.
Mais cela veut-il dire qu'il n'y en a pas ?
Pouvons-nous être conscients de ce qui échappe au petit mental ?
Il aura été dit que non, cela est impossible. Que toute proposition en ce sens n'est que fantasme et qu'il y a lieu de se méfier de ce qui ne porte pas l'étiquette "réalité", étiquette estampillée par le consensus sous la dictée des spécialistes.

Pourquoi ne pas proposer que cela est en évolution constante, et encore que l'intention du vivant soit de l'ordre de toujours plus de conscience ?
Voici une hypothèse de travail qui permet à l'esprit de rester dans l'état d'attention propice à l'ouverture en conscience. L'ouverture est bien une extension.




lundi 25 juin 2018

Des portes et de couleurs

Les couleurs sont des portes
Réellement des portes
Et chacune résonne à une certaine fréquence.

La fréquence qui la fait s'ouvrir
Et toi franchir en adéquation.

Et peut être oui...
Toutes les couleurs ensembles et pourtant non confondues
Lumière blanche qui n’éblouit pas
Plus lumineuse que tout ce que tu peux imaginer.

Là, non-lieu,  tout se pose, tout repose, tout re-naît.



 André Brasilier

mardi 13 septembre 2016

Des mondes

Les explications, je ne les aime pas
Elles réduisent le vivant à un état de platitude
Celui qui caractérise les activités de la raison
Et puis, lorsqu'elles sont psychologisantes
Elles justifient tous les arrêts, les hypocrisies.

Pourtant en cet instant, l'évidence
Qu'elles pourraient tout autant
Ouvrir des portes, et par ses ouvertures
Partir à l'aventure, celle de la conscience.

Alors ?
Oui, le seul empêchement est en soi
Se limiter, se laisser limiter
Quelque soit le nom que l'on donne
A cette limitation.