Vie et mort si
intimement liées
Qu’on ne saurait les
séparer.
Fractionner le vivant
En deux, en quatre
En des milliards
Nous précipitent dans
la folie.
Vie et mort si
intimement liées
Qu’on ne saurait les
séparer.
Fractionner le vivant
En deux, en quatre
En des milliards
Nous précipitent dans
la folie.
Les
hommes ont même oublié que si les poules pondent des œufs
Ce
n'est pas pour faire des omelettes !
Cet
oubli est si grave qu'ils en arrivent à broyer vivants
Les
poussins mâles qu'ils ont fait éclore dans leurs machines
Tout
cela dans l'indifférence générale.
Au début vous ne le saviez pas, on vous a vanté les progrès apportés par ces poisons (surplus de la dernière guerre dite mondiale), les fruits plus beaux, défricher à coup de chimie, au début, et puis... on a commencé à en parler, pollutions, dangers. Bio, certains sont entrés en résistance, vous vous avez continué à utiliser les produits, à justifier leur utilisation, à vous justifier.
Vous, je ne parle pas des grands trusts, ceux-là font la guerre à la planète, aux animaux comme aux humains, ceux-là sont des criminels de la pire espèce, mais VOUS, les petits. Petits cultivateurs, maraîchers, et même particuliers, vous qui continuez aujourd'hui encore à épandre cette chimie meurtrière dans vos vergers, vos jardins, vos terrains, vos propriétés n'ont pas de frontières en vérité !
avant qu’elle nous fasse défaut celle-là !
Le
non-sens,
Le non-sens, produit par ces activités humaines !
Ils
disent que cela ne peut pas changer
Que c’est comme ça, qu’on
n’y peut rien.
Et puis les voici si dépressifs, à
pleurer les morts
Toutes les morts, ce qu’on ne peut plus faire
avec un corps qui vieillit
L’alcool, le vin triste, les
insomnies, mais où allez-vous ainsi ?
C’est si
simple la vie !
La solitude n’est pas cet enfermement qui
fait vos relations sociales
La chrysalide si belle,
vibrante.
Anonyme : Dès lors que l'homme distingue entre loisir et travail, le paysan en lui est mis à mort...
- Au moment où l'homme se fait paysan, la folie est déjà en lui à œuvrer...
Anonyme : La folie universelle...inhabitable...
- Nous y avons pourtant construit nos villes, nos écoles, et même des hôpitaux psychiatriques...
Anonyme : Question de survie quand l'énergie vint à manquer.
-
Nécessité se fait de tout reprendre du début parce que l'énergie
ne vient jamais à manquer, c'est donc que l'homme n'a pas compris ce
qu'est l'énergie.
L'énergie n'est pas ce que je tiens dans la
main, ni ce carburant puisé dans le ventre de la terre en pollutions
et destructions...
Anonyme : Toute espèce vivante est fugitive dans l'énergie universelle...Impossible de reprendre au début, d'effacer les avatars d'un déclin.
- Comprendre l'erreur est l'effacer... c'est mourir aussi.
Partout sur cette terre
L'espèce humaine maltraite
Et les animaux et la nature
Partout !
Il y a des lieux de vie, où l'on peut l'ignorer
Ou encore l'oublier
Un instant se reposer.
Ici c'est impossible
C'est un condensé
Ce village où je vis est un condensé
De toutes les violences que les hommes
Perpétuent sans vergogne, sourds et aveugles !
Un condensé
Et ces con-densés
Ne savent même pas danser !
"Nemrut signifie sans pitié, dur et sans sourire. "