Destination finale

 

Ils ont enfermé la pensée

Et avec la pensée la perception

Enfermées dans la peur.

 

Puis ils ont emprisonné la peur

Dans le déni.

Ici

Salvador Dalí (1904-1989) 

Du consensus et de la normalité

 

La personne humaine est ainsi sacrifiée au système
Quelque soit le niveau où elle interagit avec cette matrice
Travailleur, consommateur, malade, parent, enfant, etc.
Elle est sommée de se soumettre
D'être dans une forme de non-existence
Juste conforme.

Source 

De cette propagande

 
Et l'autre !
Qui parle d'un geste d'amour
En ce qui concerne le fait de se faire vacciner
!!!!!!!

Tu sais la papauté !
Elle a toujours été du côté des tyrans, des despotes
Des mains misent sur les peuples libres.

Celui-ci ne déroge pas
De sa longue lignée !

Regarde, ils ont toujours détourné le sens premier
Récupéré le Jésus, né dans une étable, révolutionnaire
De tous les temps, homme libre défiant l'ordre étatique
Regarde, ils l'ont laissé en croix et eux pavanent
Entre ciboires précieux, vêtements cousus de fils d'or
Se prenant pour les maîtres du monde, ordre mondial !

Alors que celui-ci dise que se faire vacciner est un geste d'amour
Rien de plus normal !
Sacrifice, ils veulent tous nous sacrifier, nous vendre au diable
Nous plonger dans le grand feu des enfers
Tout en prétendant nous sauver !

Ici

Au cœur de la matière

 

Je ne voyais pas la matrice

Dont tu parles

Je la vois maintenant.

Je devrais plutôt dire

Qu'elle se révèle.

Ce n'est pas la limitation

Qui se trouve dépassée

Elle est.

C'est tout à fait autre chose.

Déjà publié ici

Julio Le Parc

La belle organisation ou encore de la matrice

 

La belle organisation que voilà !

C'est qu'il ne fallait pas

C'est qu'il ne faut pas

Trouver en soi

La complétude

Le seul état qui est reliance.

La belle organisation

Qui justifie et condamne

A l’espérance comme à la désespérance

Dépendance absolue

Que cela soit sans solution

Pour les générations et les générations...

Déjà publié ici

Estampillé 

La matrice et les maîtres du monde

Alors ils ont dit le feu des enfers

Afin que personne n'ose ce chemin

Que l'interdit soit intégré dans les chairs

Alors le chemin caché.

Ils l'ont dit pour qu'aux premiers effets

Du feu de cette intensité

Cela rebrousse chemin, appelle au secours

Réclame l'intervention des spécialistes.

Ainsi la séparation est rendue effective

"Eux " gardant le pouvoir, dirigeant

Expliquant, jusqu'aux esclaves consentant

Recevant récompenses et punitions

En redemandant encore et encore.

Déjà publié ici

-Zdzisław Beksinski-

Ni une condition, ni une solution

Plus le vocabulaire s'est enrichi de concepts

Plus s'est renforcé la séparation entre ceux

Qui prétendent savoir et les autres.

Les autres ?

Cela ne fait pas un groupe homogène

Certains se satisfont de cette situation

Et s'en remettent aux spécialistes toujours plus nombreux

Qui leur disent quoi faire, comment le faire, quand le faire

Dans ce groupe, il y a les intégrés et ceux qui ne le sont pas

Ceux qui vivent à la marge, ou exclus de ce système

Ils voudraient bien faire parti mais ils ne peuvent pas

Nombre de spécialistes sont commandités pour leur venir en aide

Pratique du contrôle social

Il est question de garder main mise sur ces marginaux.

Et puis, il y a ceux qui ne se satisfont pas de ce système

Qui en voient les ficelles, ils ont toujours gardé en eux la flamme

La petite voix qui leur dit que ce n'est pas ça

Et le "ce n'est pas ça" ne cesse de se présenter

Tant le système a perverti toutes les relations humaines

Le risque c'est de faire de ce refus un combat, alors c'est la guerre

Alors l'énergie est consacrée à la guerre plutôt qu'à la recherche

L'état de chercheur véritable ne peut pas se revendiquer

Il est ou il n'est pas

Il ne peut pas s'opposer, il est ou il n'est pas

C'est un état tout à fait particulier, d'instant en instant

Sans que jamais rien ne soit gagné. 

Déjà publié ici 

Timothy Arment

Du capitalisme et de l'homme, de l'homme et du capitalisme

Le problème c'est le capital, ce n'est pas l'être humain !
Mais l'humain conditionné par le capital est devenu un problème
La peur !

La peur, oui, la peur n'est pas notre ennemi
Elle est pure énergie pour qui ne se sépare pas
Alors tu agis, tu ne subis plus.

Victo Ngai

Et des automates

Les systèmes bien huilés des répétitions

Dans leur mouvement mécanique

Un grain de sable suffit à les enrayer.

Le disque est rayé mais il continue à tourner

Les automates bancales et affreusement dissonants

S'agitent encore.

Ils durent et c'est pitié

Ils gardent l'arrogance

De ce qui croit se mouvoir de son propre chef.

Un instant, juste l'instant

Être vivant, vraiment

Mourir à l'ancienne forme.

Comme c'est Beau …

"Regarde ! se disent-ils

On a bien fait de ne pas remettre en cause

Regarde, ils brûlent au feu de l'enfer !"

Et la peur les tenant bien fermés

Dans leur rouages rouillés

Dodelinent de la tête

Grincements

Pincements

Ah que c'est dur de vieillir !

Déjà publié ici

KürşatZAMAN

Le grain...

Bouche cousue

Dans cet effort de la matière

La meule broie le grain

Qu'il rende jus ou farine.

Déjà publié ici 

Piotr Pavlenski

De la confiscation

Ils ont observé ce que chacun peut observer

Ce n'était pas un chemin caché
Cela est devenu un chemin caché
Et encore interdit.
 
Alors, ils ont dit une méthode et son fruit
Et encore un gourou pour enseigner la méthode
Ils ont dit la difficulté, la rareté
Pour finir de décourager.
 
Il fallait différencier le commun, d'une élite
Ce qu'ils n'avaient pas prévu, c'est que cet acte
Contre-nature les condamnait eux-mêmes. 


Déjà publié ici 

SOurce

Dire qu'on en est encore là !!!!

Soyons clair, la question de la répartition du travail, comme la répartition des richesses, ces "gens-là" n'en veulent pas !

Pour que leur système existe, se maintienne, il faut de l'inégalité, des chômeurs (chercheurs d'emploi culpabilisés), des personnes sans domicile, des "pauvres", des "immigrés", des "réfugiés", des jaloux, des racistes, etc.

Alors, cessons de nous justifier !

Des conditionnements et des fêtes...

Avec ces fêtes de fin et de début d'année nous pouvons Voir comment fonctionne le conditionnement socio-culturel. Comment le consensus impose des normes, des façons de faire, des manières d'entrer en relation (ici cadeaux, nourritures, alcools, consommation à gogo) du bruit beaucoup de bruit qui clame haut et fort : nous sommes unis, nous sommes heureux, nous sommes forts, nous sommes les maîtres du monde.

Que celui qui sort du troupeau soit mis en exergue. À l'indexe. Soit parce qu'il n'a pas les moyens de participer (pas de famille, pas d'argent ) soit parce qu'il en décide et encore ose le dire. On plaint celui qui ne peut pas, on lui tend la main, qu'il puisse au moins un soir faire parti du troupeau (on appelle ça la fraternité). Et l'autre celui qui par sa décision refuse de participer, on l'exclut, on le juge, on le condamne, c'est un fauteur de trouble, un cas social, c'est un danger ! Danger pour l'unité... familiale, nationale... 

Mais si tu es bien posé(e) en toi, ces critiques n'ont pour effet que de renforcer ta détermination à reprendre « les rênes » de ta propre relation au monde.

Et puis...

Vous rendez-vous compte ?

C'est un modèle unique, celui de l'occident, celui du catholicisme et de sa très sainte église, celui du capitalisme avec ses sociétés dédiées à la consommation, qui en impose à tous, dans le déni des autres religions, des autres croyances, des autres sensibilités.

Et puis...

Voilà qu'avec ces jeux, ces pétards, ces feux d'artifice, ces beuveries, ces repas, sacrifices de tant d'animaux, voilà la grande indifférence. Oubliée la situation humaine sur cette planète, tout à fait catastrophique. Oubliées les violences, interventions policières, les armées, les bombes, les empoisonnements massifs des populations, des pollutions, des exterminations, des élevages intensifs. 

Contents, ils sont contents...

Du chemin caché

Nous sommes dedans, nous sommes cela

Et toutes nos activités de même

Et toutes nos émotions

Nos sentiments

Nos relations

Nous sommes cela qui est dedans.

Il n'est pas question de sortir

Voir que je suis cela... 

 Wilfred de Glehn The Goldfish Bowl

De la virtualité

La matrice s'est finalement matérialisée

Le gros cerveau, serveur de l'internet

Nous serons bientôt d'une manière

Ou d'une autre, tous connectés

Et ce n'est pas à l'école que cela commence

Mais dès la maternité, déjà dans le ventre

De la mère, le corps médical est grand pourvoyeur.

Ce n'est qu'une finalité, tout ce qui a précédé a participé

On pourrait dire aussi que ce n'est qu'un premier pas

L'humanité bétail, se gaussant d'elle-même

Désignant des boucs émissaires

Mais ayant participé activement à la destruction

Par la mise en élevage intensif des espèces animales

Par la destruction des territoires sauvages et libres.

Résister à cela ?

Organiser la lutte ?

Les contre-pouvoirs servent toujours à maintenir les pouvoirs

Sans eux, le système s'effondrerait de lui-même

Non...

Autre chose.

Tu l'as dit si justement, non pas les chemins interdits

Mais le chemins caché.

- Où sont-ils les chemins cachés ?

- Faut-il éviter de se connecter au réseau ?

Se poser ces questions marque l'incompréhension

« Non pas les chemins interdits, mais le chemin caché. »

Quand les populations servent de cobayes.

Comme qui dirait le dessous des cartes, ou comment nous avons pu en arriver là.

Et la dame malade de cette exposition aux radiations, devant l'évidence, qui s'écrie : « Ce n'est pas possible, ils n'ont pas pu faire ça, ils n'ont pas pu faire ça à leur population ! »

C'est dire combien la personne humaine dans ce système est dépossédée de sa propre souveraineté, et se trouve dans l'impossibilité de reprendre les rênes de sa vie, dans le sens d'être là en soi.

Tant que nous attendrons le messie, le sauveur, il en sera ainsi, nous serons à la merci de tous les prédateurs qui ne manqueront pas de se présenter. Cette position est la plus désavantageuse qui soit. En effet la proie face à son prédateur n'a d'autre choix que de fuir mue par l'instinct, fuir devant le danger mue par l'émotion, ne devant sa vie qu'au mauvais calcul du prédateur, si cela est. Elle peut aussi tendre sa gorge, oui mais, bon... se donner à sucer au vampire c'est un autre sujet.

Un vol d'autruche...

C'est tranquille tu sais …

Quand il n'y a plus de refus de Voir

Parce que...

Que tu les vois ou pas

Ces choses-là existent

Elles agissent sur tous les plans

Collectifs et individuels

Faire l'autruche ne met à l'abri de rien !

Et pourtant si nombreux à se consacrer à cette pratique.

Il a neigé sur le Sahara

Le mental humain est ainsi programmé qu'entre ce qui se dit dedans et ce qui se dit dehors, il doit y avoir une certaine cohérence, l’individu ainsi ne peut échapper au collectif, au consensus, à la matrice.

Toutes les ficelles des manipulations sont opérationnelles, mensonges, chantages, belles histoires, espoirs, promesses, appétits et satisfactions des appétits, si bien que le chercheur se confronte à l'insatisfaction, au manque, enfin tout ce qui se présente dans la phase de désintoxication.

Mais, si le chercheur est véritable, l'intelligence est avec lui, et les sens déjà s'éveillent. Dans le manque généré par un appétit que l'on ne cherche pas à satisfaire, il y a tant à apprendre, c'est tellement riche, pour le chercheur véritable. C'est la faille du programme, c'est l'ouverture qui s'ouvre, encore et encore.

Le fada, celui qui a vu des fées

Tout programme a des failles

Les failles des programmes

Sont des ouvertures

Plus que des fenêtres

Les fenêtres juste pour regarder

Regarder un décor lui aussi

Programmé

De véritables ouvertures

Tous les sens en même temps

Tellement vivants !

La boite de Pandore

Il faut que vous ayez peurs

Il faut que vous vous sentiez impuissants

Il faut que vous soyez convaincus de la punition 

Et de la récompense

C'est le programme.