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mercredi 13 mars 2024

De la liberté


Discussion avec le corps médical
Vous avez le choix, on vous le dit
Mais !

Non, ma fille, je n'appuie pas sur le bouton M,O,R,T
J'appuie sur le bouton Vie, qui est
Naissance et mort.

Ils ont bien failli me couper les ailes
Mais Cela veillait ,,,
Chaque chose participant

De la liberté !



Gary Aagaard


D'un coup de rein

 

Car n'être rien
C'est être tout
Et celui qui 
Dans son développement
Donne à entendre 
Une leçon moralisante
D'un coup de rein
Libère la parole
Qui se fait Verbe.



Steven Kenny 


Tu disais...


Tu disais...
Qu'il est inutile de se retourner, qu'il n'y a personne derrière nous.

Oui, l'attention est la trace du "sans trace"
Jaillissement du présent, de l'instant qui se détache, se sépare de la continuité.

C'est parce que l'homme était avant qu'il ne fut, qu'il est.





mardi 12 mars 2024

De la musique...


Ces chants vibraient l'air d'une manière qui nous était tout à fait inconnue. Non, cela ne faisait pas ces choses bizarres de la modernité s'appliquant à produire du spécial, du remarquable, de l'inécoutable. Ils n'écoutent pas ceux qui s'extasient d'autant d'ingéniosité ! Enfin, il ne se passait là, rien de cette comédie.

Ces voix, ces sons, agissaient au plus profond, vibration rencontrant notre propre vibration. Alors, l'évidence que le son peut guérir, rendre malade, tuer. 






Vacuité


Ils restent là, indécis, imprécis
Et pourtant tellement entêtés
N'ont rien à dire
Pas même à murmurer.

Alors je suis sortie
Sur le pas de la porte, le vent m'attendait.

Vibrante paix, profonde et si légère
Abandon sans laisser aller
Un mot pour souffler, vacuité.




Le passage

 
Il était trois heures et des poussières
Me suis levée, comme toutes les nuits
Et puis....

J'ai pensé que je me réveillais à nouveau
Un constat, je ne me souvenais pas
De m'être recouchée
Et c'était troublant...

Plus tard encore, devant le bol de café
L'évidence !
Suis partie et revenue en bordure de la conscience
Où ça ? Je ne sais pas.

Entre les toilettes et la chambre 
Un passage s'est ouvert...


Aube

dimanche 10 mars 2024

Dans le fleurissement du désir


Impossible de chanter cet amour
Avec le cœur empoisonné de regrets
Impossible encore de le chanter
Là où je suis rassasiée
Seulement dans le fleurissement du désir.



Aubrac

Pédophilie et églises


Pourquoi les crimes sexuels qui sont commis par des prêtres ne sont pas dénoncés et jugés ?

– A cause de la peur du scandale. Jésus n'a-t-il pas dit : « malheur par qui le scandale arrive » ? (Voir vidéo ci-dessous)

Un tel niveau de mauvaise foi, c'est à peine croyable ! Faire porter par les victimes le poids de la culpabilité de dénoncer, les condamner deux fois ! La troisième fois étant lorsqu'on accorde le pardon à ces prédateurs sexuels sans que leurs crimes aient été reconnus !

Bien entendu, tout cela n'a rien à voir avec l'histoire et la parole de ce Jésus, ce révolutionnaire en chair. Malheur à ceux par qui le scandale arrive !

 




Sur l'autel, les sacrifices


C'est singulière chose
Que cette vénération
De la vulnérabilité
Faiblesse glorifiée
Autel du sacrifice
De la vierge, de l'animal
Du petit. 






samedi 9 mars 2024

De la culture


La culture fait cela.

Bien sûr ! Puisqu'il s'agit de faire marcher au pas, canaliser les énergies, rendre utile à... L'individu est alors une unité de production, toujours plus calibrée, conditionnée, et pour finir vendue à l'unité dans son enveloppe de plastique. 

 


De cette défaillance

 

Il semble que certains d'entre nous pensent le bonheur comme un bien, ils l'auraient gagner au bout de tant d'efforts et de mérites, et le garderaient bien jalousement tant leur peur d'être dépossédés est grande.
Ils sont persuadés que, leur bonheur, quelques indésirables (le migrant, l'étranger, le malade, etc.) ne vivent que pour leur piquer.
Étrange ! Incroyablement étrange que ce raisonnement qui aurait poussé sur un instinct plus ancien qui incite à défendre son territoire. Pauvre petit bonheur marchand, qui ne connaît rien du véritable bonheur qui est conscience, partage par le principe de la multiplication, en soi...

En vérité c'est de souffrance dont il est question, la souffrance par la peur de perdre, une bien grande souffrance qui s'ignore.





Le miroir de la relation


Haine ou amour ?
La question a fait son chemin
Elle est descendue dans les profondeurs
Là, où tout se cache farouchement
Et pourtant crie si fort
En une plainte sans fin.
 
Comme un mal lancinant
Qui porte tant de noms
Mais qu’on ignore
Ne pouvant le découvrir
Dans sa globalité.
 
Il parle d’espoir
Alors qu’on tient tant
A sa désespérance
Il parle d'amour
Alors qu’on ne veut surtout
Pas aimer.
 
Il est le doute
Qui grandit au cœur du plus beau
Sournois, tapis dans l’ombre
Étouffant la vie même
Disant que si, que non
Emplissant tout l’espace.
 
Le voir
Furoncle putréfié
Le voir
Et enfin, décider
De vivre, ou de poursuivre
Cette agonie sans fin.
 
Il fallait cette drôle d'amitié
Pour que cela soit
Une de celle qui révèle
L’arrogance de vouloir être
Et vouloir avoir
Et même vouloir se donner
S’ouvrir à l’autre, au monde
 
Alors que tout Est.



vendredi 8 mars 2024

Toc, toc, toc


« Quelqu'un frappe et dit : vas-y ! »

Mais ce quelqu'un, cette voix intérieure, toute intérieure, c'est toi !
Et l'opportunité de toucher quelque chose de ces corps
Qui s’emboîtent comme des tables gigognes
Quelque chose de ces différents niveaux de conscience
Comme l'archer glisse sur les cordes, enfin !
Être ici et encore là-bas, concomitance !





Big Pharma et une décision


Je pense avoir compris ce qu'est le protocole, ici médical
Il découle de statistiques effectuées d'après des classements
Des définitions, des expérimentations
On a mis tout ça, dans le grand ordinateur
Et ainsi se trouvent déterminés des traitements
Et l'on dira que ce sont ceux qui sont le plus adaptés
A telle maladie, ici tel type de cancer.

Comme aura tremblé en attendant le verdict
Tumeur cancéreuse ou pas
Cancer type 1,2,3,4

Qu’est-ce qui pourrait me décider
Donc me convaincre que cette opération mutilante et à risque
Soit la seule solution parce que la meilleure ?
La meilleure pour quoi ?

Éradiquer le cancer
Longue vie à toi !
Comme si nous n'allions plus mourir
Ce n'est pas mon propos : ne pas mourir
Mourir en conscience, dans la paix
Oui, cela est mon propos.

Alors ? Quelle décision ?
Quelle décision puisque celle-ci m'appartient
Que la médecine spécialisée ne peut me proposer
Qu'un protocole et c'est sans choix, pas même le leur
Dépossédés qu'ils sont par la grande industrie pharmaceutique.

Quelle décision à prendre en mon âme et conscience ?
Mon corps dit NON à cette chirurgie castratrice et risquée
Mon esprit dit NON
Mon être dit NON
Tout en moi dit NON
Y compris le petit ego
Qui pourtant est plein de doutes et de peurs.

Alors ?





Les deux forces


Ah ! la fausse sagesse qui liquéfie la matière neuronale 
Vide le corps de toute énergie
Impuissance par conditionnement
Ils finissent par avoir peur de leur ombre
Alors ils l'effacent et du coup se privent de la lumière
Se font tout petit.

Les deux forces !
Où es-tu ?
Je ne suis ni l'une, ni l'autre
Depuis le premier instant elles sont
Alliées si puissantes
Ne privilégiant ni l'une, ni l'autre
Par moi, elles se rencontrent et se marient.






jeudi 7 mars 2024

Puissante


La puissance ne tolère aucune remise en cause
Les deux forces sont là, face à face
Les chants et les danses cosmiques
Se rient des jérémiades des nains de jardin.

Cornes de brumes
Percussions
Un bois, une colline
Se mettent en marche
Sur les flots
Des montagnes avancent.